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04/12/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (CongoForum)

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04/12/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (CongoForum) L’absence prolongée du gouverneur Moïse Katumbi Katumbi de sa juridiction continue à susciter les rumeurs les plus folles. La baisse des fonds alloués au secteur de l’Enseignement supérieur, liée à la politique d’ajustement structurel des institutions de Bretton Woods, fait peur, mais Maker Mwangu indique les sources de la dérive et la solution envisagée. Autres sujets : le processus électoral, la coopération avec l’UE, le taux dramatique de la corruption en RDC… Et, ne l’oublions pas, le sport !

Katumbi

Le Potentiel titre à la Une «Moise Katumbi : les on dit»

Il rapporte les derniers potins font état d’un exil de Moïse Katumbi Chapwe et de sa famille qui auraient emporté, biens et argent. Cerise sur le gâteau, indique le quotidien, le président du TP Mazembe aurait même trimballé dans ses mallettes 20 milliards USD en liquide (!). L’addition dévoile un cocktail décapant que des médias en quête du sensas et corvéables à souhait ont distillé dans l’opinion. Celle-ci ne sait plus à quel saint se vouer devant l’avalanche de ces interprétations en sens divers qui, en réalité, ne sont que des « on dit », affirme avec assurance Le Potentiel.

ESURS

Forum des As titre « Enseignement supérieur et universitaire : des chiffres qui font peur ». Ce journal rapporte les réponses que le ministre par intérim de ce secteur a données hier aux sénateurs. Selon Maker Mwangu, « 52 % d’établissements ayant la filière de médecine sont non viables ».

La baisse des fonds alloués au secteur de l’Enseignement supérieur est liée à la politique d’ajustement structurel des institutions de Bretton Woods de la fin des années 80 et l’effritement de la coopération interuniversitaire au fil des ans figurent parmi les facteurs qui expliquent en partie la baisse de la qualité de l’enseignement universitaire, selon Maker Mwangu, indique Forum des As. Le désengagement de l’Etat qui a laissé la lourde charge du financement de l’Enseignement supérieur aux parents a sonné le début des antivaleurs à l’ESU, a expliqué le ministre. Selon le quotidien, un plan stratégique qui prévoit l’entrée en vigueur du système LMD (Licence-Maîtrise-Doctorat) d’ici février 2015 a été mis en place pour réparer les maux décriés, a affirmé M. Mwangu.

Le Phare titre « Maker Mwangu a épinglé les sources de la dérive et la solution envisagée »

« Le secteur de l’Enseignement Supérieur, Universitaire et de la Recherche Scientifique (ESURS) est malade et mérite que son ministre s’y penche pour une thérapeutique de choc. Hier mercredi, 03 décembre 2014, au Sénat, le ministre, Maker Mwangu Famba s’est appliqué à répondre à cette préoccupation. En effet, ce constat a été fait par les Honorables Sénateurs, à l’occasion des interventions provoquées par la « question orale

» du sénateur Kisimba Kimba, au ministre de l’ESURS lors de la séance de lundi 01 décembre 2014. Parmi les préoccupations des sénateurs, stigmatisant la dérive du secteur de l’ESURS, le sénateur Bya’Ene a dénoncé le phénomène dit « branchement » consistant à être branché pour l’obtenir par faveur – et non par mérite – certains avantages. Par ailleurs, Jacques Djoli a posé la question d’un plan pour financer ce secteur et le sénateur Ndolela s’est interrogé sur la manière de sauver notre système éducatif supérieur qui, apparemment, va de mal en pis et navigue sans boussole. En outre, Golama et Otshomampita ont respectivement voulu connaître les statistiques des établissements publics et privés qui ne cessent d’enfler d’une année à l’autre et les précisions sur la mise en œuvre de la Loi-Cadre d’ici le 11 février 2015, contrairement à la Loi-Cadre de 1986 de l’Enseignement national qui n’a jamais connu des mesures

’application. Enfin, Adambu et Ruhigwa se sont inquiétés de l’état du secteur de la Recherches dans notre pays.

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Dans sa réponse aux sénateurs, Maker Mwangu Famba a remercié les élus du peuple pour la promotion du secteur éducatif supérieur, tout en regroupant en trois thèmes ses réponses aux préoccupations des ses hôtes, à savoir les questions d’ordre général, la gestion académique et la recherche, enfin, la gestion administrative, financière et infrastructures. Mais, de prime abord, le ministre a brossé l’historique de l’Enseignement national qui a vu sa part du budget national, qui était de 30% à l’accession du pays à l’Indépendance en 1960, tomber à cause du Programme d’Ajustement Structurel (PAS), obligeant les parents, en majorité sans revenu décent, à contribuer au payement des salaires, des frais de fonctionnement, aux constructions des infrastructures, etc. Le ministre a montré que les difficultés accumulées depuis des années ont progressivement conduit aux dérapages actuels dont le phénomène « Branchement » déploré sur les campus universitaires.

ESURS appelé à forger le développement intégré et durable de la RDC

De 200.000 étudiants en 2001-2002, le nombre d’étudiants à l’Esurs est passé à 512.322 étudiants en 2011-2012, soit une croissance annuelle moyenne de 16%. Ces chiffres, le ministre les a rapprochés de la couverture académique de notre pays qui comptait 801 étudiants en 2011-2012 pour 100.000 habitants contre 415 en 2001-2002, soit une augmentation de 85% en l’espace de cinq ans. En outre, il a indiqué que selon une enquête, seuls 25% des instituts et universités ont été jugés viables et seulement 16%

des filières sont viables. Le ministre a conclu en disant que le sous-financement du secteur de l’éducation et l’absence de planification sectorielle ont été pour beaucoup dans la baisse du niveau de l’Enseignement dans notre pays. C’est ainsi qu’en 2012, il y a eu la mise en place d’un Plan Stratégique 2012-2016 fondé sur une nouvelle politique ayant pour nécessité de faire jouer à l’Education supérieure un rôle capital dans le développement économique et social, intégré et durable du pays. Enfin, concernant la Loi-Cadre de l’Enseignement national, il a assuré aux sénateurs que les mesures d’applications sont déjà transmises au gouvernement ».

Processus électoral

Pour ce qui est de l’Accompagnement du processus électoral, La Prospérité note que l’Union Européenne attend le calendrier global de la RDC. Et de préciser, le fait pour l’Union Européenne d’injecter plus de 6 milliards de dollars dans l’économie congolaise l’obligerait à exercer ne serait-ce qu’un petit droit de regard sur l’évolution des choses.

Pour l’UE, la présidentielle et les législatives devraient être organisées conformément aux lois établies, rapporte le journal.

L’Avenir : « l’Union européenne maintient sa coopération avec la RDC », selon l’ambassadeur Jean-Michel Dumond.

L’Union européenne restera présente aux côtés de la RDC et poursuivra son engagement en faveur de la paix, de la démocratie, d’un Etat de droit, de la croissance au bénéfice de la population », a déclaré hier à Kinshasa le chef de la Délégation de l’UE en RDC.

« Depuis la reprise de la coopération en 2006, l’UE a apporté environ 1,2 milliard de dollars d’assistance à la RDC. Avec l’ensemble des Etats membres, ce sont 6 milliards de dollars qui ont été attribués à la RDC », a rappelé Jean-Michel Dumond.

La Prospérité signale que l’UE qui a fait hier à Kinshasa une évaluation de sa coopération avec la RDC depuis 2006 estime que la présidentielle et les législatives devraient être organisées conformément aux lois établies. Selon le journal, les 28 pays membres attendent, quelles que soient les raisons, la venue du calendrier électoral global. Parallèlement, Jean-Michel Dumond n’a trouvé rien à redire sur la mise en place de l’Office National de l’Identification de la Population (ONIP) et en a pris d’ailleurs acte.

Sous le titre «Sauvons le Congo» en campagne contre l’ONIP »,Le Phare écrit : « Farouchement opposée à toute modification de la Constitution et à toute prolongation du mandat présidentiel, «Sauvons le Congo» est toujours en campagne de sensibilisation

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de l’opinion nationale au sujet du respect strict des règles du jeu prédéfinies pour les élections locales, municipales, urbaines, législatives provinciales, sénatoriales, législatives nationales et présidentielle. C’est dans ce cadre que le Coordonnateur des FAC, Martin Fayulu, annonce l’organisation, le jeudi 11 décembre 2014 à Kinshasa, d’une grande conférence-débat sur l’ONIP (Office National d’Identification de la Population). Le lieu et l’heure de l’activité restent à préciser.

Selon ce député national, son regroupement politique va profiter de cette tribune pour dénoncer toutes les manœuvres politiciennes qui se cachent derrière une structure dont la mission réelle serait de trouver un palliatif contre le refus, par le peuple congolais, de tout charcutage de la Constitution et de toute démarche visant l’organisation d’un référendum constitutionnel. Il s’agira, en clair, d’informer pleinement le souverain primaire de l’option levée par le pouvoir en place de prolonger la législature actuelle de trois à quatre ans, en s’appuyant tout simplement sur les formalités de mise en place de l’administration de l’ONIP et de conduite des opérations de recensement.

L’identification et l’évaluation de la population congolaise sont perçues par «Sauvons le Congo» comme les deux armes secrètes préparées par la Majorité Présidentielle pour contourner les écueils de la révision et du référendum constitutionnels, deux initiatives fort critiquées au plan interne mais surtout à l’extérieur par plusieurs décideurs de l’hémisphère Nord.

Dans le même ordre d’idées, «Sauvons le Congo» a planifié un grand meeting populaire pour le dimanche 11 janvier 2015 de 10 heures à 16 heures à l’Esplanade situe entre le stade des Martyts et l’avenue de l’Enseignement à Kasa-Vubu. Afin de parer à toute surprise désagréable, l’Hôtel de Ville de Kinshasa a déjà été saisi. Jusqu’à preuve du contraire, rien ne s’oppose à la tenue de ce rassemblement populaire. Comme pour la conférence-débat du 11 décembre, le menu du face à face entre «Sauvons le Congo» et la population va graviter autour de l’agenda caché que pilote la famille politique du Chef de l’Etat, en s’appuyant sur un cheval apparemment inoffensif, à savoir l’ONIP (Office National d’Identification de la Population).

Il convient de signaler qu’hier mercredi, Martin Fayulu était l’invité de la Jeunesse de l’UDPS, section Lemba, où il a planché sur les tenants et aboutissants de la création, par ordonnance présidentielle, de l’ONIP

».

(Malheureusement, dans ce qu’ont déclaré Vital Kamerhe et ceux qui se joignent à lui, tels que cités par Le Phare, une question est absolument négligée. L’absence de recensement est un élément constitutif fondamental de la fraude, autant que la CENI politisée et l’abbé Malu Malu à sa tête. Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir ! Il faut certes cesser de vouloir des choses contradictoires, mais aussi cesser de voir des contradictions là où il n’y en a pas. Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un

« corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Fort bien. Mais, si l’on admet cette évidence, il faut aussi admettre que le recensement doit avoir la priorité sur le respect fétichiste du calendrier. Il faut cesser de brandir comme des dogmes des affirmations sur le temps nécessaire pour mener à bien le recensement, qui varient de 18 mois à six ans !. En réalité c’est une question de choix non sur le coût de l’opération, mais sur la méthode : une province à la fois ou les 11 provinces en même temps. Il faut admettre que Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, ne peut être maintenu à la Présidence de la CENI ! Il faut admettre aussi que depuis novembre 2011, il n’y a plus d’autorité légale vraiment digne de ce nom en RDC. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait dont le principal ressort a consisté à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. NdlR)

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Corruption

Le Phare note que, dans ce domaine « la RDC (est) toujours mal classée » par « Transparency International » et commente :

« Fidèle à sa tradition, l’Ong « Transparency International » vient de rendre public son « Baromètre mondial de la corruption » pour l’exercice 2014. Comme l’année dernière et les années précédentes, la République Démocratique du Congo est toujours à la traîne.

Sur 174 pays ayant fait l’objet du monitoring de l’Ong précitée, elle occupe la 154me place.

Fléau mondial, la corruption continue de s’imposer en territoire congolais comme une calamité nationale.

Le paradoxe veut que les Etats les plus corrompus de la planète occupent la loge où les taux de pauvreté des citoyens sont les plus élevés. Comme par hasard, la République Démocratique du Congo, réputée scandale géologique, héberge les populations les plus démunies du monde.

Selon Transparency International, la corruption se présente sous plusieurs formes : - Détournements des fonds publics par des dirigeants corrompus et corrupteurs (pillages des ressources pétrolières, minières, forestières, énergétiques, fiscales, domaniales, administratives, etc) ;

- Perception illégale des sommes d’argent par des fonctionnaires abusant de leurs pouvoirs (amendes transactionnelles sans quittances, pourboires érigés en système) ; - Remise en-dessous de table des pots de vin aux autorités de contrôle pour fermer les yeux sur le non-respect d’une réglementation (droit du travail, procédures comptables, règles d’hygiène, normes environnementales, etc) ;

- Graissage de pattes d’autorités publiques pour prendre des décisions partiales (justice, marchés publics, douanes, fisc, titres fonciers et immobiliers, etc) ;

« Transparency International » considère la corruption comme une grave atteinte aux droits de la personne humaine et même à la démocratie car elle mine l’esprit civique, entraîne la perte de confiance de la population dans ses institutions et leurs animateurs.

Ce fléau entraîne l’instabilité politique et sociale, la fuite des cerveaux et des talents vers d’autres cieux, décourage les investisseurs privés, détruit l’environnement. Facteur majeur du sous-développement, la corruption va même jusqu’à « tuer », si l’on s’en tient au fait qu’elle favorise la circulation, dans un Etat, des médicaments et aliments contrefaits ou avariés. « Transparency International » est catégorique : il est impossible d’éradiquer la pauvreté dans un pays où la corruption gangrène tous les secteurs.

Les observateurs notent, qu’en dépit de sa sévérité, ce verdict correspond à la topographie de la RDC en la matière. On peut rappeler, à ce propos, que le Chef de l’Etat, dans plusieurs de ses messages à la Nation, ne cesse de fustiger cette antivaleur comme un fléau national. En dépit de sa volonté d’appliquer la tolérance-zéro contre la corruption, celle-ci a encore la peau dure et continue de faire des dégâts dans les domaines de la justice, des finances publiques, de l’administration publique, de l’enseignement, de la santé, des marchés publics, des affaires foncières, de l’agriculture, du transport, de l’énergie, des mines, etc. A cet égard, l’interpellation de Transparency International vaut tout son pesant d’or ».

Coopération policière

Forum des As annonce que contrairement a la Grande Bretagne, l’Union européenne maintient sa coopération avec la Police congolaise. Pour le confrère, les 28 mobilisent 620 millions d’euros pour la RDC. Au moment où Londres lève le ton pour suspendre sa coopération avec la République démocratique du Congo en matière notamment de son appui à la Police nationale congolaise, l’Union européenne reste de marbre. Les 28 Etats membres de l’Union sont déterminés à poursuivre leur coopération avec Kinshasa pour l’aider à mettre sur pied ’’une Police réellement républicaine, professionnelle et respectueuse des droits humains’’, rapporte le journal.

Le Potentiel, qui revient sur cette sanction contre la Police, estime que l’UE joue en

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solitaire

L’Union européenne privilégie la poursuite de la formation intellectuelle des éléments de la Police nationale congolaise, en lieu et place des sanctions. La déclaration est du Chef de la délégation de l’UE à la presse nationale et internationale.

Sport

Le Potentiel revient sur la CAN 2015 et fait savoir que la RDC est logée dans le groupe B avec la Zambie, le Cap Vert et la Tunisie. Le journal renseigne qu’après le tirage au sort de la CAN Guinée Equatoriale 2015 qui a eu lieu hier mercredi 3 décembre à Malabo, la RDC est fixée sur ses prochains adversaires.

Forum des As estime que la République démocratique du Congo se trouve dans un groupe B négociable avec la Zambie, la Tunisie et le Cap-Vert. Les Léopards joueront leur premier match le 18 janvier 2015, à 17 heures face à la Zambie. Le second match de cette poule opposera la Tunisie à Cap vert à 20 heures. La Guinée équatoriale, hôte du tournoi et tête de série, a eu un tirage plutôt clément avec le Burkina Faso, le Gabon, et le Congo.Les quatre groupes sont : Groupe A : Guinée équatoriale, Burkina Faso, Gabon, Congo*Groupe B : Zambie, Tunisie, Cap Vert, République Démocratique du Congo*Groupe C : Ghana, Algérie, Afrique du Sud, Sénégal*Groupe D : Côte d’Ivoire, Mali, Cameroun, Guinée

Divers

Au sujet du Gouvernement de cohésion nationale pour ce week-end, La République suggère que c’est Matata, le premier ministre ! A en croire ce quotidien qui indique des sources sans les mentionner, annoncé pour fin novembre dernier, c’est ce week-end que le gouvernement de Cohésion nationale verra le jour. C’est Augustin Matata Ponyo qui en sera le Premier ministre.

Voulant dénoncer les mauvaises pratiques des grossistes orientaux : une grève des commerçants kinois s’étouffe dans l’œuf rapporte L’Observateur. Pour ce quotidien, recourant au système de bouche à oreille, les commerçants de différents marchés de Kinshasa ont lancé le week-end dernier un mot d’ordre de grève. Ils devaient sécher les marchés le mardi 2 décembre courant. C’est pour protester contre les mauvaises pratiques de la vente au détail.

La Prospérité qui informe sur les 3èmes négociations intergouvernementales : RDC-RFA écrit : Kinshasa bénéficie d’une enveloppe globale de 53 millions d’euros. Selon le quotidien, le geste que vient de poser la République Fédérale d’Allemagne envers la République Démocratique du Congo prouve à suffisance que les deux pays entretiennent des relations solides en matière de coopération bilatérale. Et, ils sont déterminés à les renforcer davantage.

Sur le même dossier, L’Avenir note pour sa part, selon l’ambassadeur Jean-Michel Dumond « L’UE maintient sa coopération avec la RDC ». A l’en croire, D’entrée de jeu, M Jean-Michel Dumond a informé que depuis le 1er décembre courant, M. Donald Tusk, l’ancien Premier ministre de Pologne, a pris la relève de M. Van Rompuy en tant que Président du Conseil européen. « Cette nomination d’un chef de gouvernement d’un de nos nouveaux Etats membres est un signal fort et encourageant. Elle témoigne que, 25 ans après la chute du mur de Berlin, la réunification du continent européen est achevée ».

© CongoForum, le jeudi 4 décembre 2014

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