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28 11 19/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (Dialogue) Sommaire

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28 11 19/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE JEUDI (Dialogue) Sommaire

Trois sujets captivent principalement les médias congolais, jeudi 28 novembre. Il s’agit des différentes catastrophes qui ont endeuillé la RDC, la retraite du FCC à Kisantu et la question de l’inefficacité de la MONUSCO dans l’Est de la RDC.

Catastrophes

Forum des As titre « 29 morts à Goma, 41 à Kinshasa et 80 à Beni, novembre noir pour la RDC »

« Au regard de ces chiffres macabres, particulièrement élevés, pourquoi ne pas décreter un deuil national ?

Vingt-sept personnes tuées dans un crash d'avion survenu le dimanche 24 novembre à Goma.

Quatre-vingts Congolais ont trouvé la mort à Béni, depuis le lancement le 30 octobre dernier, des opérations de grande envergure des Forces armées de la RD Congo (FARDC), pour traquer les rebelles ougandais ADF-NALU dans cette partie de la RD Congo. Quarante et une personnes sont mortes dans les éboulements de terre, provoqués par la dernière pluie diluvienne qui s'est abattue sur la ville de Kinshasa, dans la nuit du lundi 25 novembre.

Les différents bilans ci-dessus, donnent un cumul de 148 morts en l'espace d'un mois ! Horrible. Par déduction, Novembre 2019 aura été particulièrement funeste pour les Congolais.

Mieux, un novembre noir pour l'ensemble du pays. Et dire que les chiffres repris ci-dessus sont loin d'être le total exact des Congolais ayant péri soit dans un accident, soit dans une catastrophe naturelle au courant de ce mois de novembre finissant. Dans un pays-continent comme la RD Congo, pas surprenant qu'il y ait plusieurs dizaines d'autres personnes qui ont trouvé la mort dans des drames de diverses natures et qui ont été inhumées dans l'anonymat total.

UN DEUIL NATIONAL?

Même si dans leur pensée collective, les Noirs et particulièrement les Congolais, considèrent que la fin d'une année est généralement considérée comme mortelle, celle de l'année en cours semble être particulière. Sans doute qu'il reste un peu plus d'un mois pour que l'année 2019 touche à sa fin. A moins d'être doté d'un pouvoir devin, personne ne saurait prédire les événements malheureux pouvant survenir en décembre prochain.

Toutefois, d'aucuns estiment que les différents bilans des catastrophes évoqués ci-dessus, sont amplement suffisants pour qu'un deuil national soit décrété en mémoire de toutes les victimes. Hélas jusqu'à ce jour, il n' ya encore aucune déclaration des dirigeants du pays faite dans ce sens. Ce qui pousse plus d'u Congolais à se faire des cheveux blancs. Sans conteste, il y a eu plusieurs cas de décès aux cours des mois antérieurs. Mais 148 morts à l'intervalle de quelques semaines seulement, "c'est le bouquet !"

DES CATASTROPHES QU'ON POUVAIT EVITER

Un accident est par essence quelque chose d'imprévu. Cependant, il en existe ceux que l'on peut bien éviter. Prenons le cas de la tragédie du dimanche 24 novembre à Goma. Des sources qualifiées de l'Aviation civile sur place à Goma, contactées quelques heures après l'accident par Radio Okapi, avaient attribué le drame à une suite de pannes techniques survenues depuis le 15 novembre sur le Dornier 228-200 immatriculé 9s-GNH de la compagnie aérienne Busy Bee. D'abord à Butembo où l'un des moteurs de cet appareil qui effectuait un vol régulier le même vendredi 15 novembre, avait rencontré un problème technique.

A la suite de cette panne, les mêmes sources avaient renseigné qu'un mécanicien avait été dépêché sur place à Butembo et l'avion était revenu à Goma, capitale provinciale du Nord- Kivu. Près d'une semaine après, soit le 23 novembre, les mêmes problèmes techniques auraient réapparu sur l'un des moteurs. Les mêmes experts de l'Aviation civile à Goma avaient ajouté qu'après les travaux techniques, l'appareil aurait effectué un vol local pour s'assurer de la performance du moteur.

Fort des explications de ces experts qui ont force de témoignage, on peut dès lors déduire que le crash qui a couté la vie à 29 personnes, le dimanche dernier était évitable. C'est que dès le départ, cet avion n'était plus en capacité de voler. Par conséquent, il appartenait aux services

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compétents d'y veiller. Ce qui semble n'avoir pas été fait. Partant, des observateurs, sans anticiper les résultats des "enquêtes" ouvertes sur ce drame, condamnent ce qui s'apparente au laxisme de l'Autorité de l'aviation civile. Car, sur base des éléments d'info techniques en sa possession, l'Autorité de l'Aviation civile à Goma avait le plein pouvoir d'interdire ce Dornier de la mort de voler.

INONDATIONS ET EROSIONS A KINSHASA : UNE FATALITE ?

Revenons sur les victimes de l'averse de lundi dernier à Kinshasa. Plus de 40 morts coincés sous les décombres de leurs habitations, il se pose-là, un vrai problème de gestion des communes de la capitale. Comment peut-on comprendre que les dirigeants du pays se contentent de faire la comptabilité des sinistrés, sans envisager des mesures idoines, afin de prévenir d'éventuelles catastrophes ? Il est sympathique soit d'adresser des mots de compassion, des messages de condoléances (protocolaires ?) aux familles éplorées, soit de prendre en charge les funérailles des victimes.

Quiconque s'exercerait dans l'élaboration d'une chronologie des catastrophes naturelles à Kinshasa, arriverait sans doute à la conclusion que celle de lundi dernier n'a pas été la première du genre. L'histoire rappelle que plusieurs dizaines de Kinois ont trouvé la mort dans des circonstances presque similaires. Et comme toujours, certaines autorités du pays exploitent ces événements malheureux pour leur visibilité. Pour ne pas dire, leur marketing politique. Et, ça s'arrête là. En tout cas, sauf oubli collectif des Kinois, sinon il n'y a presque jamais eu des actions préventives de grande envergure menées pour anticiper ces genres de catastrophes.

Ailleurs, l'Etat aurait pris une décision impopulaire de délocaliser les populations vivant sur des sites à risque, pour des endroits ne présentant aucun danger. Naturellement, moyennant un forfait en guise de dédommagement. Exactement de la même manière qu'on agit lors de l'élargissement de certaines artères principales de la ville. Cas du boulevard Lumumba. Si déjà, pour des raisons "esthétiques ", l'Etat a souverainement demandé à tous les propriétaires des parcelles par où devraient passer la route, de quitter pour aller ailleurs, combien ne le ferait-il pas pour ses administrés qui, peut-être malgré eux, " attendent "-la mort dans leurs maisons construites dans les endroits à très haut risque ?

En ce qui concerne les inondations, là aussi, des observateurs pensent que la responsabilité de l'autorité étatique est établie. Dans une ville où la canalisation d'eau pose un vrai problème d'urbanisation, on ne peut que s'attendre aux dégâts du genre de ceux de lundi dernier.

Moralité, ni les érosions ni les inondations ne sont une fatalité ni encore moins, une malédiction du ciel sur les Kinois. Bien au contraire. On peut bien les éviter et mettre les populations à l'abri du danger. "Gouverner c'est prévoir ", disait Emile de Girardin »

A la suite des éboulements de terre survenus à Kinshasa, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, Premier ministre de la RDC, a réuni mercredi 27 novembre, quelques membres du gouvernement et le responsable de l’Office des voiries et drainage (OVD) pour évaluer les dégâts causés par les dernières pluies qui se sont abattues sur Kinshasa et proposer des solutions urgentes, rapporte Actualité.cd.

Le FCC à Kisantu

Le Front commun pour le Congo (FCC) semble disposé à multiplier et encourager des crises aussi bien réelles qu’artificielles pour fragiliser Félix Tshisekedi et contrer sa percée dans l’opinion nationale, suppute Le Potentiel qui pense que les lieutenants de Joseph Kabila estiment que ce serait le meilleur moyen de revenir devant le peuple congolais et espérer reconquérir la présidentielle en 2023.

En même temps, à Kisantu, les bonzes du FCC se penchent sur un autre sujet. Le FCC redoute qu’en cas d’une crise institutionnelle, Félix Tshisekedi soit amené à dissoudre le Parlement. Une scène d’apocalypse que le FCC cherche à éviter par toutes les issues possibles. Dans sa retraite de Mbuela Lodge, le FCC a mis à contribution ses juristes et d’autres stratèges pour contrer une telle initiative-si jamais la menace d’une dissolution du Parlement devenait imminente, fait savoir le quotidien qui ne dévoile cependant aucune stratégie.

Tout va bien entre Joseph Kabila et Félix Tshisekedi, c’est la réplique de Kasongo Mwema, porte-parole du Président de la République, cité par Cas-info.ca.

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Les deux hommes s’appellent et se rencontrent régulièrement tantôt à Kingakati, tantôt au palais présidentiel de la N’sele ou même à la cité de l’Union africaine, sur les hauteurs du Mont Ngaliema, renchérit un cadre de la coalition FCC.

Comme pour corroborer les propos de Kasongo Mwema, 7sur7.cd indique qu’à Kisantu, le FCC réfléchit aussi sur sa contribution dans la mise en œuvre « responsable et palier par palier » de la gratuité de l'enseignement de base.

Beni : MONUSCO et population

La présence de la MONUSCO n’est pas bien perçue dans la partie Est de la RDC. Depuis les récents massacres à Beni, le mouvement des indignés de la situation sécuritaire en République démocratique du Congo demande au chef de l’État d’ordonner le départ immédiat la mission onusienne du sol congolais, écrit Dépêche.cd

Entre temps, la MONUSCO plaide non coupable, peut-on lire dans les colonnes du Phare.

« Nous tenons à réaffirmer que nous ne sommes ni résignés ni indifférents aux terribles agissements des ADF : 14 attaques attribuées à ces miliciens et 80 morts depuis octobre 2019. » Ces propos sont de Matthias Gillmann, coordonnateur du groupe de communication des Nations Unies, qui a animé la conférence de presse bi mensuelle d’hier mercredi 27 novembre 2019 de la MONUSCO.

D’ailleurs, renseigne le Bulletin de l’ACP, la MONUSCO s’est dit prête à utiliser ses moyens de défense en appui à l’armée congolaise face aux rebelles dans le territoire de Béni au Nord-Kivu dans l’Est de la RDC.

L’Agence officielle ajoute que la MONUSCO s’est déclarée prête à apporter son appui aux forces armées congolaise (FARDC) si la démarche en est faite en dépit des manifestants des populations lundi dernier contre ses éléments. Elles avaient pour objectif de dénoncer l’inaction de la MONUSCO et des autorités face aux tueries du groupe armé des Forces démocratiques alliées (ADF).

Banana

En annexe, un Appel urgent de la coalition Le Congo n’est pas à Vendre appellant à la transparence dans le dossier du Port de Banana

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© Dialogue, le jeudi 28 novembre 2019

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Appel urgent

La coalition Le Congo n’est pas à Vendre appelle à la transparence dans le dossier du Port de Banana

Kinshasa, 25 novembre 2019

Alors que le nouveau gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) déclare faire de la lutte contre la corruption une priorité nationale, le Président Tshisekedi annonce être sur le point de vouloir conclure un contrat de plusieurs centaines de millions de dollars pour la construction d’un Port en eau profonde. Ce projet, sous le précédent régime, avait pourtant fait l’objet de suspicions de corruption au sommet de l’Etat, auxquelles s’ajoute des risques d’impacts majeurs sur l’environnement.

Lors de son récent passage en France le 12 novembre, le président Felix Tshisekedi a annoncé le début imminent des travaux du port en eau profonde de Banana. Annonce qui entre en résonnance avec l’adoption du projet de loi de finance de l’exercice 2020 qui prévoit entre autres le lancement de la construction du port.

Le président congolais a également fait savoir que des investisseurs étaient déjà présents pour travailler sur le projet. Aucune information n’a été donnée sur l’identité desdits partenaires. Le Président n’apporte ainsi pas de remède aux critiques des « Banana Port Papers » à propos de la mauvaise gestion et du manque de transparence dans le dossier Banana.

Banana est le seul accès à l’Océan Atlantique de la RDC. Au vu de la capacité et qualité des infrastructures des ports de Boma et Matadi, la RDC a régulièrement recours aux ports de ses pays limitrophes comme le Congo Brazzaville ou encore la Tanzanie. « Il est évident qu’un port en eau profonde sur la façade Atlantique pourrait bénéficier à la RDC », a déclaré la coalition Le Congo n’est pas à Vendre . « Mais pas s’il est pensé à des fins de détournements plutôt que pour l’intérêt général ».

Selon des documents publiés par la Plateforme de Protection des Lanceurs d’Alerte en Afrique (PPLAAF),

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il semblerait que le contrat initial, datant de 2018, pour la construction du port en eau profonde sur ce site aurait prévu la création d’un groupe de sociétés susceptible de faciliter l’enrichissement personnel de certains dignitaires du régime congolais, dont l’ancien président Joseph Kabila. Selon ces documents, il apparaitrait que l’ensemble des négociations autour du contrat initial aurait également été entaché de faits de corruption autour d’un projet qui doit s’élever à plus d’un milliard de dollars.

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http://bananaportpapers.info/index.html

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PPLAAF a été approché par plusieurs lanceurs d’alerte ayant suivi les négociations entre l’ancien gouvernement de la RDC et DP World, avait mis en ligne des documents échangés entre les négociateurs, notamment des avant- contrats, ainsi qu’une description de la structure que les parties comptent créer.

Par ailleurs, la construction prévue pourrait avoir un impact dévastateur sur l’environnement.

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La zone dédiée à la construction est qualifiée d’écosystème unique et est connue pour son parc de mangroves qui joue un rôle prépondérant dans la stabilité et l’entretien des écosystèmes.

Au niveau social, les populations qui vivent à Banana s’inquiètent de l’impact d’un tel projet sur leur quotidien. Partagés entre les promesses de métiers futurs pouvant endiguer les problèmes de chômage actuels et la crainte de voir de la main d’œuvre importée, les communautés restent prudentes face à ces nouvelles perspectives.

En vue de la politique présumée du nouveau président contre la corruption, la coalition CNPAV demande :

• Au gouvernement de publier immédiatement tous les contrats et statuts des sociétés impliquées dans la construction, la gestion et l’exploitation du port, dans le respect des normes congolaises et internationales sur la transparence des marchés publics ;

• Au gouvernement d’assurer que (1) le marché soit obtenu par appel d’offres

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et 2) qu’il respecte les processus environnementaux et de participation publique en vertu de la réglementation congolaise et internationale

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.

• Au chef de l’Etat congolais d’analyser en profondeur le dossier et de prendre les mesures requises qui s’inscrivent dans son programme de lutte contre la corruption

2https://actualite.cd/2018/03/27/port-de-banana-la-ville-de-muanda-va-disparaitre-si-les-travaux-touchent-le- parc-marin

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Le contrat de DPW aurait été obtenu sans l’appel d’offres prévu par le code des marchés publics (voir articles 17, 41 et 42 du code des marchés publics).

4

La consultation publique est exigée par la loi congolaise de protection de l’environnement, le parc marin est protégé en vertu d’un Arrêté ministériel nº 044/CM/ECN/92 du 2 mai 1992 portant création et délimitation d'une réserve dénommée "Reserve naturelle des mangroves" ou "Parc marin" et par la Convention relative aux zones humides d'importance internationale (Ramsar), le travail de

préparation environnemental est régulé par le décret n° 14/019 du 02 août 2014 fixant les règles de fonctionnement des mécanismes procéduraux de la protection de

l'environnement.

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• Si les contrats s’avèrent illégaux ou contraires à l’intérêt général congolais,

o L’annulation du contrat pour la construction du Port en eau profonde de Banana et le lancement d’une procédure conforme aux règles des marchés publics.

o Mener une enquête judiciaire sur les allégations de corruption.

La coalition « le Congo n’est pas à vendre » regroupe une dizaine d’associations congolaises et internationales qui s’engagent et militent dans la lutte contre la corruption.

Personne de contact pour ce dossier :

Gabriel Bourdon-Fattal PPLAAF

gabriel@pplaaf.org + 33 6 580 161 96

Campagne

Le Congo N’est Pas A Vendre

11 11 11, Bruxelles AETA, Kinshasa OCIDC, Kinshasa ODEP, Kinshasa RECIC, Kinshasa PPLAAF, Paris CRG, New York

Congo Nouveau, Goma CdC/RN, Bunia

Resource Matters, Bruxelles OEARSE, Lubumbashi RAID, Londres

Afrewatch, Lubumbashi

Referenties

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