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ONGDH-DEDQ / Asbl ACTION URGENTE N° 036/2008 « Menaces de Sécurité et Intégrité Physique contre certains membres de la DEDQ »

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ONGDH-DEDQ / Asbl

ACTION URGENTE N° 036/2008

« Menaces de Sécurité et Intégrité Physique contre certains membres de la DEDQ »

(DISPARUTION DE ABIDJE NGABA Depuis février 2008)

Détectives- Experts pour les Droits au Quotidien, DEDQ en sigle, ONG de défense et promotion des droits de l’homme et de la famille, basée à Kinshasa/ RDC , vous sollicite d’intervenir tant auprès des autorités de Kinshasa qu’aux Missions Diplomatiques installées en RD Congo, notamment la MONUC pour exiger que cesse les menaces et autres harcèlements de certains membres de la DEDQ.

Pour rappel, DEDQ soutient et accompagne Mlle. ABIDJE NGABA J., afin que vérité soit connue, dans sa démarche de réclamer la paternité de sa fille âgée de 10 ans à Joseph KABILA KABANGE, président de la RDC et Chef de l’Etat.

Cette démarche l’avait coûtée un enlèvement et détention pendant plusieurs jours dans les cachots pirates et une accusation formulée contre elle, par la présidence de la RDC par l’ entremise de Mr. MUGALU, Chef de la Maison Civile de Chef de l’

Etat, à l’ex- Cour de la sûreté de l’ Etat en octobre 2005.

A l’issue d’une parodie de procès, elle fut condamnée à 12 mois de servitudes pénales principales pour « offense envers le Chef de l’Etat ».

MUGALU est aussi auteur en son temps de l’enlèvement et détention illégale de Gabriel MBUYI, qui avait cru mieux faire en allant informer la présidence de l’existence d’ ABIDJE et de sa fille.

Sans oublié autres bavures commises aussi par le Général MUKUNTU à l’ encontre de KASONGO MUKADI de la DEDQ, qui était chargé des enquêtes et un autre KILU MUNDUKISA.

Bien qu’ ayant purgée sa peine de 12 mois + 6 mois que le Directeur du Centre Pénitentiaire et de Rééducation de Kinshasa (CPRK) lui avait ajoutée illégalement, une autre régularité que DEDQ avait une fois de plus porté à l’ attention des autorités, sans suite.

Libérée en janvier 2007, cette dame a continuée à vivre dans l’ insécurité totale sous l’ œil impuissante ou complice des autorités politique et judiciaire, sans oublié le silence de la MONUC, jusqu’ à ce qu’ elle sera de nouveau incarcérée et soumise aux traitements cruels,dégradants et toutes sortes de violences pendant 7 jours au camp TSHATSHI par certains éléments de la Garde Présidentielle non autrement identifié en avril 2007 sans aucune inculpation. Grâce à la pression de la DEDQ est fut une fois de plus libérée

Pendant tout ce temps, DEDQ n’a cessé de tirer les sonnettes d alarme sur la situation d’ insécurité générale , crainte pour sa vie, menaces permanentes,…. Dans laquelle ABIDJE était soumise, dont la dernière sonnette tirée dans notre lettre

N°002/DEDQ/SG/MKK/08 du 24 janvier 2008 adressée au Représentant du Secrétaire Général de l’ ONU en RDC, intitulée : « Mlle. ABIDJE NGABA ; réclame la paternité de sa fille âgée de 10 ans à Joseph KABILA KABANGE … insécurité et menaces de mort ,… » dont une très large ampliation aux autres partenaires.

Malgré le caractère Urgent que devrait bénéficier cette situation, ni le Représentant du Secrétaire Général de l’ ONU, moins encore autres Diplomates saisis, aucune action n’a été entamée dans le sens de répondre aux préoccupations sécuritaires telles que dénoncées et détaillées dans notre lettre susvisée, jusqu’ à ce que l’ irréparable risque d’ arriver car depuis fin février 2008, ABIDJE est portée disparue. Les investigations menées par DEDQ n’ont rien données jusqu’à ce jour.

A la place ce sont les menaces de mort, intimidation, harcèlement,…( appels anonymes et texto, promettant aux membres qu’ils vont disparaître comme ABIDJE , visite intempestives aux domiciles et au siège de la DEDQ,…) contre certains membres de la DEDQ. Ces menaces commencent à affecter nos activités au quotidien.

DEDQ prend au sérieux ces menaces d’intégrités physique qui ne font que s’aggraver, surtout qu’ elles ne sont pas les premières depuis le début de ce dossier en 2005.

Elle avait déjà enregistré quelques victimes en son sein, notamment Marie- France MBUYI et Patrick FUNDI (Avocats d’ABIDJE).

Le plus préoccupant étaient ceux de Paul Henri KASONGO MUKADI, victime de représailles et KILU MUNDUKISA.

ACTIONS REQUISES :

DEDQ craint pour l’intégrité physique de ses membres (Moïse KATONGO, Marie MBUYI, FUNDI, KUSUBA, META –Francine) qui sont en RDC et vous demande d’intervenir auprès de ;

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- la Maison Civile du Chef de l’ Etat, Ambassadeur MUGALU et Général MUKUNTU de la Présidence (cabinet du Conseiller Spécial en charge de la sécurité) qui gèrent cette affaire et sont soupçonner d’orchestrer ces menaces.

-Autorités Belges et Françaises pour les cas de Gabriel MBUYI, KILU MUNDUKISA Germain et KASONGO MUKADI , pour que ces autorités les facilitent l’ obtention des documents pour leur asile car ils risquent les représailles si ils retournaient en RDC.

Fait à Kinshasa, le 12 avril 2008

Pour la DEDQ Eleuthére SALUMU Président

(Tél. +243 999 913 586, E-mail : dedq_ong@yahoo.fr)

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