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27-02-19/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MERCREDI (CongoForum) SOMMAIRE

Les articles parus sur les médias congolais en ce mercredi 27 février 2019 sont une fois de plus braqués sur les événements politiques. Fatchi, en voyage officiel en Namibie, y aévoqué dans ses dicours des questions relatives au Congo, entre autres de la libération des prisonniers, de la corruption, en particulier lors d’élections indirectes. Il est aussi question de

la position officielle de la plateforme politique Ensemble de Moïse Katumbi après la présidentielle du 30 décembre 2018, des difficultés et perspectives de la

« cohabitation » entre CACH et FCC, et de quelques irréductibles qui se cramponnent toujours à la « vérité des urnes ».

Tshisekedi en Namibie

Le Phare écrit à ce sujet « En visite officielle en Namibie : F. Tshisekedi pour l’élection directe des sénateurs et gouverneurs

Félix Antoine Tshisekedi, en sa double qualité de Chef de l’Etat de la République Démocratique du Congo et de 2me vice-président de l’Union Africaine, est en visite officielle en Namibie depuis hier mardi 26 février 2019, en compagnie de son épouse, auprès de son homologue Hageu Geingob, qui est en même temps président en exercice de la SADC (Communauté de Développement de l’Afrique Australe). On laisse entendre que leurs entretiens devraient porter sur des questions de coopération bilatérale mais aussi de sécurité et de développement (agriculture, pêche, énergie, eau, libre circulation des personnes et des biens à travers la SADC). Son agenda prévoit également une rencontre avec une icône de la lutte de libération des peuples d’Afrique restés sous domination coloniale après la vague des indépendances des années ’60, le patriarche Sam Nujoma.

En marge de son séjour à Windhoek, il s’est exprimé, devant la presse, sur certaines questions de brûlante actualité au pays. Interrogé au sujet des allégations de corruption des députés provinciaux, appelés à élire les sénateurs et les gouverneurs de provinces à la fin du mois de mars, il n’a pas caché son intention d’initier une réflexion, au niveau du Parlement, pour un changement de mode de vote de cette catégorie d’élus.

A son avis, l’unique moyen d’éradiquer le monnayage de ce type d’élections est de permettre au souverain primaire d’élire directement les sénateurs et gouverneurs de provinces.

En résumé, le Chef de l’Etat est favorable, à l’instar de nombreux compatriotes indignés et scandalisés par les mœurs des « grands électeurs » que sont les députés provinciaux, à l’instauration du suffrage universel direct, comme c’est déjà le cas pour les élections du Président de la République, des députés nationaux et des députés provinciaux eux-mêmes.

Parlant de la corruption, il a rappelé qu’elle est inscrite, dans son programme d’action, parmi les antivaleurs à éradiquer en priorité, afin de favoriser l’assainissement de l’environnement politique, économique et administratif national.

Tous les prisonniers politiques seront libérés

L’autre sujet qui fâche abordé par le Chef de l’Etat, à partir de la capitale namibienne, est celle de la décrispation du climat politique , avec en point de mire la libération de tous les prisonniers politiques et le retour au pays des exilés politiques. Il a répété ce qu’il avait déjà promis dans son discours d’investiture, ainsi que dans ses rencontres avec la diaspora congolaise Luanda, Nairobi, Brazzaville et même Addis- Abeba, lors de sa première participation à un sommet de l’Union Africaine, à savoir que tous les prisonniers politiques et d’opinions seraient très bientôt libérés.

Mais, le Président de la République a tenu à préciser que le calendrier sera déterminé au cas par cas. Selon lui, le tout va dépendre des procédures à mettre en œuvre tantôt pour les bénéficiaires de la grâce présidentielle, tantôt pour ceux dont les

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dossiers seraient vides et qui seraient éligibles à une libération immédiate.

Félix Tshisekedi a tenu à rassurer l’opinion nationale que quelle que puisse être la durée que prendrait l’examen de différents cas, tous les prisonniers politiques seraient libérés dans les tout prochains jours.

Il est permis de croire qu’avec ce nouvel engagement du Chef de l’Etat, le dossier des prisonniers et exilés politiques va être bientôt clos de manière définitivement, conformément à son vœu de faire de la RDC un Etat de droit, qui ne devrait plus héberger des prisonniers politiques ou entretenir des exilés politiques. On peut signaler, dans ce créneau, la fermeture de tous les amigos des services spéciaux, aussitôt après son investiture et l’élargissement automatique de tous les détenus qui y séjournaient en toute illégalité ».

A la question d’un journaliste qui cherchait à connaitre la démarcation qui existe entre son pouvoir et celui de Joseph Kabila, Felix Tshisekedi a répondu : “Je ne comprends pas du tout cette invitation à me démarquer du pouvoir de Kabila, parce que le pouvoir de Kabila a fait son temps et maintenant c’est le mien qui commence, donc il n’y a pas de démarcation à faire, j’ai amené ma méthode et je vais vous dire comment est-ce qu’elle est déjà en train de faire ses effets”, relève 7sur7.cd. Félix Tshisekedi a ensuite fait état de l’ouverture de la télévision publique à l’opposition et des sanctions qui sont prises contre les membres des forces de l’ordre auteurs des violations des droits de l’homme.

Enfin, concernant l’accord qu’il aurait passé avec le camp de Joseph Kabila, Felix Tshisekedi a déclaré que « s’il y a un deal aujourd’hui, c’est un deal pour que l’alternance se fasse pacifiquement. Il y a eu cette attente et elle s’est faite pacifiquement pour qu’après les élections législatives et la majorité qui s’en est dégagée qu’il y ait une coalition avec le camp de Monsieur Kabila, le camp sortant. Jusqu’ici, c’est cet accord, si on peut l’appeler deal, c’est cela le deal qu’on peut dire avoir fait pour le Congo », mentionne actualite.cd.

Médiacongo.net écrit que « Félix Tshisekedi promet la libération, "dans les prochains jours" de tous les prisonniers politiques, et la fermeture des cachots de l'ANR »

« De Windhoek, la capitale de la Namibie, où il séjourne depuis mardi 27 février 2019 dans la matinée, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi Tshilombo, a annoncé la libération, dans les prochains jours de tous les prisonniers politiques.

"Dans les jours qui viennent, tous les prisonniers politiques seront libérés selon leurs cas.

Parce qu'il y a ceux qui vont bénéficier de la grâce présidentielle immédiatement, et d'autres dont les procédures pourront être levées. Ce qui est sûr, tous les prisonniers seront libérés dans les prochains jours ", a rassuré le chef de l'État.

Pour concrétiser une de ses promesses de campagne, Félix Tshisekedi a aussi annoncé avoir ordonné la fermeture de tous les cachots informels.

Au sujet de l'agence nationale des renseignements (ANR), il a déclaré : "nous allons lui donner un autre visage plus humain. J'ai déjà donné l'ordre pour la fermeture de tous les cachots de l'ANR et qu'on ne puisse plus retenir des gens juste à cause de leurs opinions politiques".

ZOOM-ECO évoque le même voyage de Fatshi, mais c’est pour parler d’une autre déclaration « Depuis la Namibie, Félix Tshisekedi condamne la corruption des grands

électeurs ! » «

« Le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi a annoncé qu’il va vite s’attaquer à la corruption des grands électeurs décriée tant par la société civile que certains candidats aux scrutins indirects de mars 2019.

« Je condamne fermement cette pratique de choses. Et je vais très vite m’y attaquer.

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Mais, l’une des premières choses pour laquelle j’invite la classe politique à faire : c’est de réfléchir sur ce mode d’élections de gouverneurs de provinces et des sénateurs. C’est ce mode d’élections qui est à la base de la corruption », a déclaré le chef de l’État à côté de son homologue namibien devant la presse à Windoek.

Répondant à une question lui posée, Félix Tshisekedi a donc saisi l’opportunité pour lancer cet appel à la réflexion sur la meilleure manière à laquelle il faut donner au peuple des élections législatives nationales et provinciales et même présidentielle pour exercer son droit de choisir directement ses élus.

« Le combat contre la corruption sera une de mes priorités. Je combattrai la corruption avec toutes les méthodes démocratiques possibles jusqu’à ce que celles-ci sera totalement éradiquées dans notre pays », a rassuré le président de la République.

Toutes les énergies, les intelligences, les stratégies et tous les moyens de la République seront mobilisés avec une dose suffisante de volonté politique pour éradiquer la corruption qui est encrée dans les habitudes et traditions congolaises depuis plusieurs décennies ».

Cohabitation

Pour Le Potentiel, il y a un problème à l’« UDPS: Comment imprimer sa marque au pouvoir ?»

L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti historique d’opposition du président de la République, Félix Tshisekedi, ne compte que 32 députés à l’Assemblée nationale.

Jusque-là, le chef de l’État n’a pas désigné le Premier ministre, en vue de la formation du prochain gouvernement. Cela, plus d’un mois après son investiture.

L’attente devient longue pour les Congolais d’en bas et même pour les étrangers qui voudraient bien voir le successeur de Kabila imprimer sa marque. Les attentes des populations congolaises étant nombreuses jusque-là, le gouvernement devrait être mis en place pour s’attaquer aux chantiers socio-économiques. Les tractations seraient en cours pour former ce nouvel exécutif devant être dirigé par quelqu’un issu du camp Kabila qui a raflé la majorité des sièges à l’Assemblée nationale.

Entre-temps, le chef de l’État demeure entouré par des proches de son prédécesseur, dont la plupart sont frappés par les sanctions de l’Union européenne et des États-Unis.

Situation qui fait douter de capacités du nouveau président à s’émanciper de l’ancien.

Dont les hommes contrôlent l’état-major des FARDC, les renseignements militaires et même civils ainsi que la Garde républicaine, surtout, restent aux ordres de Kabila. En outre, le président de la RDC travaille encore avec les ministres de son prédécesseur.

Aussi dans ces conditions, n’apparaît-il pas difficile pour lui d’asseoir son autorité sans l’appui de l’ancien président. Qui a, à coup sûr, pris le soin de créer un contre-pouvoir suffisamment puissant pour obliger son successeur à négocier chaque poste.

De toute vraisemblance, il est sous l’influence de l’ancien régime, faisant dire à bien des Congolais qu’il n’aura pas le contrôle du pouvoir, étant donné qu’il n’a pas la majorité à l’assemblée nationale.

Qu’à cela ne tienne, une certaine opinion pense que l’actuel chef de l’État n’est pas né de la dernière pluie. Elle est convaincue que le président de la République ne se laissera pas faire le mouton de Panurge. Il sera bien obligé d’imprimer sa marque en se démarquant de son prédécesseur, pour être avec le peuple, respectant ainsi le vœu de son géniteur biologique : ‘‘Le peuple d’abord’’.

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Congoprofond.net : « Ensemble reconnait Felix Tshisekedi comme président »

Deux sujets sont largement traités dans la presse congolaise ce mercredi : la déclaration de la plate-forme politique « Ensemble pour le changement » de Moïse Katumbi sur l’élection de Tshisekedi et la visite de ce dernier en Namibie.

« Ensemble reconnait Felix Tshisekedi comme président », titre

congoprofond.net. Ce

regroupement constate que « Monsieur Félix Tshisekedi a été proclamé président de la République démocratique du Congo par la CENI, validé et investi par la cour constitutionnelle,” peut-on lire dans une déclaration rendue publique par Pierre Lumbi, vice- président de cette structure, rapporte le site.

« Toutefois, ce mouvement dirigé par Moïse Katumbi fustige l’accord FCC-CACH qu’il estime dépourvu de toute de légitimité. Il déplore aussi les irrégularités observées au cours de scrutin 2018 qui, selon lui, affecte sa crédibilité et sa légitimité », souligne le media.

Le regroupement de Moïse Katumbi attend par ailleurs que « le président de la République Félix Tshisekedi libère les derniers prisonniers politiques dont Franck Diongo, Firmin Yangambi, et Diomi Ndongala, tout en “favorisant le retour des exilés politiques et forcé à l’exil dont Moïse Katumbi, Jean Pierre Bemba et Mbusa Nyamwisi”», note de son côté

kinshasatimes.cd.

Concernant la « vérité des urnes » pour laquelle se bat Martin Fayulu, candidat arrivé en deuxième position a la présidentielle du 30 décembre 2018, Pierre Lumbi a estimee mardi en conference de presse que ce « combat a atteint ses limites », indique forumdesas.org.

« Je pense qu'à la vérité des urnes comme combat va succéder celui pour la restauration de l'Etat de droit et la consolidation de la démocratie. C'est-à-dire, c'est ce que Félix Tshisekedi devra faire pour qu'en 2023 ce qui s'est passé en 2006, 2011 et 2018 ne puisse plus se reproduire. Ça c'est le combat que nous devons mener. Et si Félix a encore le réflexe que nous avions ensemble pour un Etat de droit, probablement des convergences sont possibles », a déclaré l’ex-directeur de campagne de Martin Fayulu.

Fort de ses 66 députés nationaux et 97 députés provinciaux, Ensemble se pose en première force de l’opposition et convie les principaux leaders de Lamuka, plate-forme électorale de soutien à Fayulu, à « procéder à une évaluation de l'action menée jusqu'ici et à décider de sa nouvelle orientation ».

L’Avenir titre à la Une : « Cohabitation CACH-FCC, Fatshi envisage un code de bonne conduite », le Président de la République démocratique du Congo, Félix -Antoine Tshisekedi, séjourne à Windhoek en Namibie depuis hier mardi, pour une visite officielle qui s’achève aujourd’hui, écrit le journal. Le confrère renseigne que le chef de l’Etat a animé également un point de presse conjoint où il a tenu à expliquer sa méthode « d’un code de bonne conduite à ses partenaires pour que nous marchions ensemble en respectant les règles établies, afin que ce que nous nous serons convenus de faire pour

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notre pays et son peuple puisse être respecté tout au long du mandat que je vais exercer », a-t-il déclaré en marge de son séjour à Windhoek (Namibie).

Crise politique post-électorale

« Ensemble » de Moïse Katumbi reconnaît Félix Tshisekedi comme Président de la RD Congo » - annonce cheikfitanews-info en ligne des congolais de Belgique Un mois et deux jours après la prestation de serment de Félix Tshisekedi comme Président de la RD Congo, la plate-forme « Ensemble pour le changement » reconnaît du bout des lèvres le pouvoir de Tshisekedi Félix.

Une déclaration politique en 14 points de cette plate-forme signée par Pierre Lumbi a été ainsi rendue publique le mardi 26 février 2019.

Malgré quelques piques au Président sortant Joseph Kabila et au nouveau Président,

« Ensemble » s'inscrit dans une logique d'apaisement politique. Au Président de la République, il demande des actes dans le sens de la démocratie, et promet même de soutenir des intiatives qui iront « dans le sens du bien-être de la population, de la consolidation de la paix, de l'instauration d'un régime véritablement démocratique, de la sécurisation du pays et de la réhabilitation des institutions républicaines ».

(Parmi les pièces annexée à cette revue, figure le texte intégral de cette communication NdlR)

La Prospérité affiche en manchette : « Ensemble pour le changement passe au front de l’Opposition, Félix Tshisekedi : des signaux forts exigés ». La consœur de Mont Fleuri, elle, se penche sur le retour des exilés politiques dont Moïse Katumbi, Jean-Pierre Bemba et Mbusa Nyamwisi, libération des prisonniers politiques, tels que Franck Diongo, Firmin Yangambi et Diomi Ndongala. Ensemble pour le changement, tout en constatant qu’en dépit de toutes les irrégularités décriées, Félix Tshisekedi a été proclamé Président de la République par la CENI, confirmé et investi par la Cour Constitutionnelle. C’est dans ce contexte -là qu’il place, désormais, devant ses responsabilités et l’invite à conjurer la crise de légitimité, à restaurer les institutions démocratiques et à construire un Etat de Droit respectueux de la dignité humaine, a conclu le tabloïd.

De son côté, Le Potentiel mentionne à la Une : « Fonctionnement régulier des institutions, Ensemble dit non aux interférences de Kabila ». Dans un communiqué signé mardi 26 février, la plateforme Ensemble pour le changement tire la sonnette d’alarme.

D’après le confrère qui cite le communiqué, « l’exercice du pouvoir du président de la République doit se fonder sur la Constitution et non sur un accord politique sous seing privé et secret qui n’engage pas la nation congolaise. Cet accord ne peut valoir source de légitimité démocratique ». Et cette plateforme prend acte de la victoire de Félix Tshisekedi mais « se positionne comme la première force de l’opposition ».

AfricaNews titre également : « Ensemble reconnait enfin la victoire de Félix et abandonne la lutte pour la vérité des urnes, Katumbi prend ses distances avec Fayulu ».

« Enfin, Moïse Katumbi Chapwe vient de rompre le silence… plus de 30 jours après l’investiture de son vieil ami Félix Antoine Tshisekedi. Beaucoup de gens sont tentés de pousser un ouf de soulagement car il a fallu du temps pour que les nuages sombres qui s’amoncelaient dans le ciel de l’Ensemble soient enfin dissipées. »

Ce journal note que la décision prise par Moïse Katumbi d’exprimer clairement sa position met ainsi fin à toute ambigüité à la nouvelle démarche engagée qui risque de prendre les dimensions de convergences parallèles avec celle suivie par Martin Fayulu Madidi.

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Actualité CD titre « Ensemble pour le Changement invite les leaders de Lamuka à décider de la nouvelle orientation de la coalition «

La plateforme Ensemble pour le changement, qui soutenait la candidature de Martin Fayulu à la présidentielle du 30 décembre 2018, a invité ce mardi 26 février ses membres, chacun individuellement, à décider de la nouvelle orientation politique de la plateforme Lamuka dont elle est membre."Concernant l’avenir de LAMUKA, ENSEMBLE POUR LE CHANGEMENT invite ses principaux leaders et leurs organisations respectives à procéder dans les meilleurs délais à une évaluation de l’action menée et à décider de sa nouvelle orientation”, souligne la plateforme dans une déclaration lue par son vice- président Pierre Lumbi Okongo, ce mardi à l'immeuble Reine de la Paix, dans la commune de la Gombe, à Kinshasa. Cette déclaration a été faite en présence d'autres dirigeants de la plateforme dont Delly Sesanga et Claudel Lubaya.

Monsengwo irréductible

Forum des As titre : « Monsengwo revient à la charge sur la ‘‘vérité des urnes’’

». Ce journal revient sur la conférence de presse donnée par ce prélat catholique en Belgique sur la présidentielle de décembre dernier. « Laurent Monsengwo Pasinya le dit à haute et intelligible voix à qui veut l’entendre : « Félix Tshisekedi n’a pas gagné la moindre élection, c’est bien Martin Fayulu le vainqueur. Mais Félix Tshisekedi a conclu un arrangement avec Joseph Kabila pour le faire ‘‘nommer’’ comme président de la République », écrit FORUM DES AS, relayant ainsi ce cardinal, dont le discours intégral

peut être téléchargé à l’adresse

http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=41&newsid=213024&Actualiteit

=selected

Annexes : Communiqué de Pierre Lumbi pour ENSEMBLE

Plainte de Luzolo Bambi à propos de la corruption durant les sénatoriales Extrait de Jeune Afrique donnant l’avis de l’expert Gerard Gérold.

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