1960
« Guerres des Ondes » au
Congo - Kinshasa
Fin 1960 – début 1961, le Congo vivait quelques une des heures les plus tragiques de son histoire. C'est un véritable conflit qui menace d'éclater, ce qui provoque l'internationalisation de l'affaire congolaise avec, à l'ONU, une condamnation par l'Union Soviétique et les pays du tiers-monde qui veulent soutenir Lumumba.
Mais, le 4 septembre 1960, le président Joseph Kasa-Vubu annonce à la radio la révocation de Lumumba ainsi que des ministres nationalistes ; il le remplace le lendemain matin par Joseph Iléo. Toutefois, Lumumba déclare qu’il restera en fonction ; le conseil des ministres et le Parlement lui votent une motion de maintien et, à son tour, Lumumba révoque le président Kasa-Vubu, sous l'accusation de haute-trahison. En plus, il appelle à Léopoldville une partie des troupes de l'Armée nationale congolaise (ANC) stationnées à Stanleyville et au Kasaï.
Entre-temps, l'ONU vote l'intervention de troupes internationales1 dans le but de s'interposer entre les Belges et les Congolais de Kasa-Vubu, d'une part, et les partisans de Lumumba, de l'autre. Cependant, un coup d'État (soutenu par la CIA), éclate à Léopoldville par lequel Joseph Désiré Mobutu prend le pouvoir. Ex-militaire, mais aussi ancien journaliste dans la presse congolaise pro-belge Mobutu a repris du service dans l'armée congolaise avec le titre de colonel. Il crée immédiatement le Collège des Commissaires généraux composé de noirs compétents dans divers domaines, transports, économie, politique, etc... chargés de gérer au plus pressé une situation chaotique. En même temps, le 10 octobre, Mobutu assigne à résidence Lumumba, Ileo et leurs ministres. Mais Lumumba fait passer en secret un mot d'ordre demandant à ses amis politiques de le rejoindre à Stanleyville, où ils établissent un gouvernement clandestin dirigé par Antoine Gizenga.
1C'est l'apparition de ce que l'on va appeler les « Casques Bleus » ainsi nommés par la couleur de leurs casques destinée à signaler ces militaires internationaux comme " Soldats de la Paix".
Le 27 novembre, Lumumba s'échappe avec sa famille de la résidence Tilkens, à Kalina, et tente de gagner Stanleyville avec une petite escorte à bord de sa Chevrolet. Son évasion n'est découverte que trois jours plus tard. Persuadé d'avoir réussi, grâce à cette avance, à échapper à ses ennemis, il harangue ses partisans sur son passage, ce qui lui fait perdre du temps et permet au major Gilbert Mpongo, officier de liaison du service de renseignements, de le retrouver pour essayer de l'arrêter.
Après un premier échec à Port Francqui le 1er décembre, Mpongo réussit et Lumumba est arrêté à Lodi, dans le district de la Sankuru. Il est ensuite ramené à Mweka, où il est embarqué à bord d'un avion vers Léopoldville, d'où il est transféré au camp militaire Hardy de Thysville, sous la garde des hommes de Louis Bobozo.
Il lui reste alors à peu près six semaines à vivre…
Il existe de très nombreux récits de ces événements. Mais ils exposent les faits soit du point de vue d’un acteur de premier plan, Congolais ou étranger, dont ils étaient proches, ou adoptent le point de vue de l’historien, c’est-à-dire celui d’un extraterrestre fraîchement débarqué de Sirius mais omniscient parce qu’ayant connaissance de toutes les archives.
Cela éclaire certes notre lanterne quant à ce qui se passait dans les sphères dirigeantes congolaises, belges ou mondiales. Mais cela ne nous permet guère de savoir de quelles informations pouvait disposer le citoyen Lamba, alors que dans toute la carrière de Lumumba les réactions populaires, les manifestations et les mouvements de foule ont été des éléments essentiels et récurrents.
A cette époque, la réponse à la question « Qu’est-ce que les gens peuvent en savoir ? » était simple : « Ils en savent ce que dit la radio ». C’était alors le seul média susceptible de suivre des événements « en temps réel ». Mais c’était aussi une époque où la radio (et la télé, encore balbutiante) étaient soumises à un strict monopole d’état. Celui-ci mène facilement à la censure, les informations étant facilement « lissées » dans un sens favorable au point de vue officiel.
Or, le hasard a voulu qu’à ce même moment, la Radiodiffusion Nationale de la République du Congo - autrement dit l’ancêtre de l’actuelle RTNC – était en train de développer ses émissions mondiales, destinées notamment à fournir des nouvelles du pays à la diaspora congolaise en Europe.
Quand on fait cela, l’on se retrouve toujours dans la situation de celui qui parle dans un micro en se demandant s’il y a bien quelque part quelqu’un qui l’entend et l’écoute. Pour savoir ce qu’il en est, il y a deux solutions, et nous verrons qu’on les a employées toutes les deux.
1° On peut faire appel, sur les ondes, aux auditeurs de bonne volonté, pour qu’ils fassent savoir s’ils reçoivent les émissions, si elles sont audibles, etc…
2° On peut recourir à un « monitoring », c’est-à-dire charger des observateurs commis à cet office d’écouter ces émissions en prenant des notes et d’en faire systématiquement rapport.
De ce fait, nous disposons de tels rapports de monitoring, et ils concernent précisément la période du 24 novembre au 8 décembre 1960 qui est celle de l’évasion, de la fuite, de la poursuite et de la capture de Lumumba.
Et il n’est pas exagéré de parler de « Guerres des Ondes » à propos de ce que ces rapports nous permettent de découvrir. Et j’écris bien « guerres » au pluriel, car on en découvre deux qui se livraient simultanément.
La première était intérieure. Elle consistait essentiellement en une forme renforcée de censure (ou d’autocensure). Lumumba est passé sous silence, ignoré jusqu’à paraître inexistant, ou, à partir de son arrestation, est présenté comme « communiste ». Tshombé et la sécession katangaise sont un peu mieux traités et l’on passe notamment sous silence leurs accointances étrangères2. Le Congo qui a pignon sur rue, pour l’émetteur, c’est celui de Léopoldville, avec le colonel Mobutu et le gouvernement Iléo et, surtout, le Président Kasavubu, mentionné à tout bout de champ, à propos et hors de propos, dans des termes dithyrambiques.
La seconde vient de l’extérieur. Manifestement, un émetteur tiers a par moments empiété sur la fréquence congolaise, rendant l’émission inaudible. On lui attribué diverses identités: Moscou ? Varsovie ? Mais aussi Radio Free Europe3. Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’il émettait la plupart du temps dans une langue slave.
Mais on a aussi capté, venant de cet émetteur mystérieux, des émissions d’information en français par lesquelles ces perturbateurs s’efforçaient de donner des nouvelles de Lumumba.
Bonn e lecture !
Guy De Boeck
Note technique.
Comme on s’en doute, ces documents ont emprunté des voies quelque peu tortueuses et détournées.
Visiblement, les documents dont nous avons pu disposer ont été réalisés en scannant, non pas des originaux, mais des copies carbone. Cela en rend par endroits la qualité et la lisibilité contestables.
2Alors que, à ce moment-là, Tshombe est pratiquement tenu à bout de bras par les Belges et l’UMHK. En tous cas, la présence de ses « amis étrangers » était bien plus visible que celle des hypothétiques « amis soviétiques » de Lumumba.
3Emetteur américain situé en Europe occidentale, émettant de la propagande anticommuniste en direction des pays d’Europe de l’Est et dans leurs langues. On était alors, faut-il le rappeler, dans la période la plus glaciale de la guerre froide.
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FrË*ssaâpççt
s*p:r4s,gn*aate Éeper:$.*
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F{,*:r"ry-}F$r*-&ntR}:*n.ïfr p.*$!à*fl r
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de La Edpubllquaattentioâ attentioa sur sur du têngo,* la fait la fait
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Beé)riseéml*siga * fis buLLetla dlj.nfarnatlEa -
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Je pourrale vous parler, €r€st çlre lee
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paestâe denE touteg J.eceoleaiec, Êui ssnt
ûevaauee iadépEndantae.Il" set évidoat
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CÈélneonsi{é}a- hIçseat lcndue dra&ti.qure. I{eia
nous quL vLvonsl-sc
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o-uetoutes les posslbilltée esnt
€noore1à at qutil n'y s iien de
peld.uJ}qotre tenps
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arri.v*rstrE taujûurs à eelutlûsB€r ugs
problèægx,
daf,e Leçonesrâ*
nattoâeLe.TIrs deuxiàoe"ehoEe que
Je veadraie
vouealgaal*r, creEt
que ^aouarra
EsÉEss
très
resonnaàssarris,envats
Les peysqof
aEtieont aredl
qut Foëgaa*
apXro"*é epon*andryentl.gur alde et tfe pourrout
eonptér -suTLe tongo larsgutil
sarÊâéf,Laitivs*rEut esngqlidé. IL sraglt-tle
esneqlidcr
s&Etrueture pelitLquË êt tesrl.torl,ale , tout en
eanssrventllunité êu
tongo.rlqu€ {lu
ffstd,r"âto.8 rrilLssLoBs 6n aHgls.lÊ g€rogheur*
de ÏréopsJ.dyilJ.e.eut le
hanffiâ, Ysu,e ïûxrË
"*ppet'uu
qlrsle t+nge a
déJàfait dts
raarrifestaÈisas âe epnpassJ.cn Fô1itiee àntres
paryc&r
asâd.*.$L
an$*usâtloà
r.il y a e*ê
Feys qu*. co:apatissentàvbc la tonga, le
Scago égal*$eatécapatLrâ"-
vv*!r*F**9?.à-ltaven'ir,
ayêcnri:aBorte qgèl FsyÊi
paraequ$}*s dif,îtsuLtés q$i *e pass*at
aujourdtSnui arr Çong*r sÊpass**t
ffii#âi;ï#Ë*l& ffi;iiË-ptr"-
ÏTcus apprencasçe ""â*-"ê*t f .t
soat
d.eediffisr:.ltés
du eoææèncearel:'ç-âçtrt
çs*sêrxÊenent s. &'*sd,if,fisul'
tà;: S*est
€**1Ë.*çs
qrrs*slls esuffr*ns pcur le aoesnt.
T]teta;;iù
d,eaoËs
orgaalser t,;'ù*
doucenent 3:*rrrarrl"vçr à
La pleS-ae'*riîexllsa*ion
lâe nçÈre
p*ys.
''/sras ;xlnYËE fêad.ertout
espoLrsnr le
tongo-. I'reCongo
êst-déjâ. i:rt*rvenrr
pend,antla d.eraière grierre
nond.àn"l*tpolir
aidâr lr:\roie à devenir libre
e'b gqesi aujourd"rhui le
Jongo osten &lffle,ï:lt3n
de:eaince sera peut-êlro vo!:e pays
qr.r:i sÊrs, eËdif,fieêlté cN,'te
ûcngo? :rous péuvczêtrg s{i} ! interviçnd.ra
*gaàenenËtFcTâr, sorrS.ager
votre pny* qul às* s:r d.l,fficuT.tê. ï*aie
dsnsÈ*ut
eela*ia **ago
pôrrrr*5,Èaiâsl
l.eearrtrsc
natl.êrrer-- ïûus
ËaYea bi-**- que I'etoago à tâutçs les possl"bàlitée * et
unefôls
qtre e,sspossibilitée ser6nt réalinées*
nôus$ouærâs ai€es nçieporte quel
pagsqrri
sererrt{ans le
besaâ-n,11
a
âêdàparticipé
enplusieurs
endrsi,ts*_€rr Suroperil ?9t.
scrti
d.a sonlerrit*ire, Fôur aLler
âéfend.rslee aatree tçsrlt*irêÊt iàr Aelge* et
lt}lu.rope.'CIêLa tseus, æsntre qlle aolr$rêstsns
dane }s'famille"êe I'hunanitê pou* ls
æçnêeentier
e'i;pour la p*ix
Ôu }asaâs'
,laiatenent,
$ene *rrélCrËiral pae si L*ngtesFg-* ieLr- ie
'{rçtrs*eæande
*r'plrc*g11e si Jà csntinue à parler,
11y
anrs. d"es ebceesqul
vousi$teressentn il
3re
d.eecl:*se* qu{
rre vôualatereeaent
pae.Far*r
lee
eTioses$tl ie vsus i*tereseçat
F&srse seraLt
rrneperte
àe
ternpspsltf vçris et srsl. Jraurais
voultl,{u! v*us 8ê
Soei.es quelqeesquesttâae*e*
J*esseryerai d.e répond.re,
êans}a sesure
Se s.es TÊsy*ns.APPJ.aa&Lçse.rseate
-ssu.lles-vstrs
parlêr
âEnos esnlrersafione,
salaeêl ou peuÈêtre auJetrârhul"
a\reÊK.
ilaYal?QueJ.les sû::Yersatiorra?
*
Êl[. 1eprésident] l.eîts
avssparl*
avee S.,]ayel , ntest-*e
paæ?-
FaEanj*urâri:,ui, Js ltal
v'Ir,
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*
Fou]'ss*?èlt$i]*.rlêr
d'eeette
er:trev:rc?-
sag aaÈnëe$anËrje ntexeugs,, Je voîls
enpar3,*rai p1u* tard.ril le faut..
- ïrropinion publiqu* anérieaiae eroit
qr:eff.
Irr:,glræba a.€u
o1âa
deeli.eas
&.Ësesétroits
avôsi*à eecf.ètiqeee, Tt 3î3 et ffi.
Lusuaba- rêo'Leat*o pàov;$; â* porot
A*-rrue dr: sàaâetrt5re r Çâ-pourralt
dirlgar le ffi$;-+*Ji iÀJio" oriental*
{Sro Fâxress-vàôe
eefait?
Ici,
évidæûlrsatsg otal pas lrlaÈe*tloa
de provoques d.e d.iseussionsslrr çe
proaÀèae. ;.Sâis*e-q;.f
nCIuslnteresse, poqr
1ârrsrû**1T
9€êol'ssrver att"à io**p*eàaÉce,
ilans- ecaentLèreté.
Feraequ€ nÔl1âavo&s
*.eqîlii*tÏ;--î?àAÊ;;âas;Ë tàtare, et
nous ataeeepÈerossi*nais'
alr= gBraaa*Janaia, 1|
lniLuense droù qrrblle vlênse.
j$vld.esse*t, à u:r certais'
eoment d.çnnésn
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queg-ti+n èa s*toir* si eu
Congo" il y ?.ô*e
eocsrrnLetes'Etnguf
âTêaa;;;:d;.-;è;;;à",â"*-"i-ii { e? "otr!, es
soSt,dee so€ÊuntsÈeeLneonsei*"tË'*â"i=;;
Àéréaâent pes eônpte'-H*19
q*andâsus
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I,epréeld,est, itai eu lro*ceslsn , iI y a guelquef
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KaËangaole*quels *nt d.é*l*ré à
Ltépoque, guanô{le esat venus,egx-8.!,t gue-leur
quere3"lepricalpaLe
avéc l:1. trnrmuabaétait qutil étsit
enfaveur
dtr.tnerépublique; trèe centrallsée, pour le
Congo.It
qureuxaÊme/tenaient
pôur
uneféilératLon, plus ou
mol:rs& étroite.
Qrelle
esÈvotre".propre pe*itica vis à vl"s de la
Républiquetentrale, su de
Latrédératisa pôur
3.e *ongo?-
À{apoaition erest certalnenenr de
résoud.race prablè*E.I1 iaat te:rir
c*æptequra*
#oagù*i! y a âiverslté |
stsm€lcin
or: ào*$eitrrêril y a d.i"v*rsifé. St
n"epas tsnl::
co:apte âeed'lrercJ.tés irûur
3!ç1IsËtest eapl"tal-o.l'*st
3:ôËrça
que*.'ils
&vons suggérêdè*
s*,.&,x'btfia
dan*a,
u&€sçrÈc
d,ed.écentralÈcai;itn,ûela ne signlfle
pa.e egr:r**msreelle le pa;'s
e:rplusiêurs parËiês, naie sLgnifie
ej.nple;r*ntf
ae,Lltté
d.fadxinis*ration
du paysr ilcr une etruetire çri ti*;:*
ensâa,e Èenpe oompt;e
*'b *e l"tunité du
ilengoe? ôe ses d.iversitôs"#ela Feur farràsiser lf
éLanceæent d.e l,réc*noæ1e géeéraJ-e ôlr pess? tr)iiTçeElË.ean p*uvolr trop *st:tralieé nsglige +*tte part1e et ainei il aly
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appelLe çà? tforrsessslâéroa*
çàcÀrn*
uirei'eneJ.lion.
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pap's du egaÔâçà
ae'riveparfols, gtrtil ya lrun ou ltautre qui
ne4[souset_p?8à la.colstitu- ii;;: # âfors -, à ce
nop.eat1à, qu'ost-ce qgrll €*yt faire?
11y a
Aegx chceesà'fa!*e: oâ blen
ôn ra"pènele
t"Jpgà ds'âeillsurs àentiaeatx, ou
bi"enon le aet Juge{ par le âggqle oa-bie? il y.a à;; W*.quL intecvi.e:æreat " clest
ueeâLffieuLËé gul-tl'cst
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Êai].y aeËs*ôsâre savoir p?Ët$ql est*ee
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qi.*.! esrrnaiseentltl:istcire ds ltbusanitêr ils d*iveat ssvol"r
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eavcat ptgs àtt-ii rârit âriài.ie î*us
aj"dit tantat
que ce*q-d:ifficel"tél Êue aôu.svrvç;s &'*st pas-i*"Ccos*
s*ËJ"gui a
vécu.l':iais ceLa 3}e ver;*;;; ei;; il;ôn ne trouvere
Baesâ eolutiône, et
qurotrn'arrl:rsre
Fes'Ë-,;;i*àit-au-i*i*àùri*rt? .
.ihl æoraenteù'o:r c[erebe ]'a solutlsa o" * Beut pg; ttuioirs dire
à,ru d.esalnlleus
aTsasla paixr. et le i=."q"iirit?.
rqôs.s-âvsn."a""
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eêu:tr ae noâaâ-voro"tg-aîat*èsraen€ pâspaur babiter
arrtloago'Ile
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clu Coego.- loulez*Trûus
eomnent*i, si çà crest ua
po3"ntôtaeeord entre
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T,u:nu.nbe.?Je crois sltoir déjà
répoailûâ eet*e questl'on* $otra dogtrjÏte si
vsuevsales, etest
c.e eonservêrnotre
i-nâépôndaËce d.ans sonenii*i"àtg, g;iË
ievoËs d.e$,andé una ind.épend.a$ce
totalel et
âou6 voul.oncla consersêr,
iJa ne sais pgs
p.*t:.r<iu,ol vouy posg1 3"aquastlsa.
Aves-vsc*rirtaté
gue]9 qreuigl g:-nis'itre aurait
desattractionE âvss
Lfautre côté.-e*ef
:11 faut
d.rakord..q.ut vouele
d.diaontries. J.arcequeje peasa:e q,iiii srétait
pas.inai-rl*.élci.
dteagager desdlffiçrilté; ei:tre fe fays*et
&êus. ilaig je
Yû:tËai ûit
quepûur &ûus,
nCIus sors&esvigile*j:tê.
I{oue
rreillesonc dtoù vienôra ltinflueneé néfaete
de notËe :}sÇr€.gt là
aous;aettrons Tggicure gbstacl"e,
Âl"oresl
d.ansvotro icielvcstionn
11
y_a su
d.e pa;-eJ-llesaffâireg,
y*u.ê d"evriassalrolr
que nûil-s/&ûgÊdevrtons agirr i]ûur éviÈer
qr.ro d.ssinfluences
d.eee geare stiilfiLtrent
eb"eg aoug "
11
ya
q*,eiquesjçurç;,?,
Kimbaej.teit }es parolee
d.e i.î.. tsi:oiabé.euivant lesquelles iit"
lsfo.e*bései'eit prât
à-assleÈer à
une conféienceôe la 'Ïable
ro:r$esyse
des réprésentaaÈe de Tréopol.dv1lle, à c*ndttLoa
dit-11.
qus L*inûépenôaaeepolittque
duKatanser eolt
sauvégard,$e.'Qutest*ee que vCITrg p€rrses de
cette
aonôitl"On?- Si le
KaÈaagaptee
d.eesond.itions ,
Léopo1d.s"tl"lepos€re
égaleæent ûeeecadiÈiansr
confilegtân(f) posera
deseoaâitlens ,
ains3.-d.e eul*tê.trest pour çà
queje
vorrsai dit
Aue nûus avons eonvôqué unefable
Ronûer Sê1rr
ôiseuter torttes ses
queotioaa.-
IJ.y
_agra ôeeeonôitioss, il
aty-&u:papas
des cond,itl*onsr
Çà cloeËà
1afsble
rond.e quronv€tr&ç IL arest pae gueetioa
d.econâitione
daas
un
aâs,epays. Si e
tegbpour Le btên êi payer ûâ lraccepte"
S1 ea
nfest
pas;iolrr le
bLen du pa,ysçn ne
Ltaecepte p&s.11
ya
aesft$at*
qui- eonposentltÀné*igue, eËt-se
que tr,f Ânéri,gua pose d.esoonditions au
gouverneneatcentral?
Chaque ËEf,état,
eet-cequ!11
peso d"e* questiorre?Ë{AL y a
d.esgueations maintenaût, etest
pareeque
nstre strtÂ+tlrre
dupays ,
nfest pas encôre établie ct
quanûIa structÈte
dupags sera
étabJ-iece sera la
répaasaà votre
questLotr.Four le
raope:rt i:ousne pouvtas pas eca*id.ér6r
unê :revçnd.lcabion ile gaueheà droite "
r-rais nousalLsns
rassemblertoutss nss volontés
Ae 3.a naËLoa,et'ctest à la fable rosde
que nousallons d.tlciderrsi
tl faut consi*érer
Lruaeou Lfautre euggestiaa*
Cesont
Ces suggestianeet
nonpas der conditicrrs pour la constructias
dupaye.
Ce rre Fgrrt pae desrevenôieaticns !
pareequsje suis eonvaiaeu,
que rasiroiabé eetâussi décidé à cacrstrrire le
pays? cosr&etsus lea sutres leaclers
ôutongo, sont décidi;s à eonstrulre l-eur
PsYÉ:te ne
sont_pa6_<leerevanâlcatieas se eûat
d"esnat$riaux
psrJ,rla ceastructLon
âu pa;;'s..* ff. le irrésiâent
quetrs*t votre
prôgr*lr:ûepoer le
développement éeenoniquê der #ongo?:lt
eoarnentest-cê
quese
pregrâla$e Êea'aréallsé?
- tette guestioa
gue vousposcr i ç€
que noug eberchonspour le
asnent erast
ârs"berd. deÈræ
d.onaerdu travatl à t*ue les
châneura, Srendant que Lee
leadere polltiques
eeréunlssentl pronouvsll lt lndnstite,
l"etransport,
Irtlnportatien et l
rexportetlon est
.d.éJâ"étab1l poler-le
monent. En-unnot je
d.ols vorlsôlrer tE€.*algré
quenûus Earq1:oas
, *ralgr6 qulon a prétenûu
gue nous sanguotls d.etechal- ciens. le ôole
veËsassus€r
que]a
baee écononique ûutoago est
entlèie, bien
quelf agreseion belge avait
sonneobJeeti.f
Ôtattaquer5.
â6tr* éesneglst setre
beee éeonoeiqaereeta sntJ.àrs.
Fcueallsrr
bt'entsÈ
La eattrË
ÊEs&rche, lee
tËàhaieJ.eng{suË-iÀ"-'pàv"ïâIîËot
9f ts} q*Ê:'
Onclerche alara 1à
où 11.peut êa trouver,-gËne-iÀrens
Àa n6aeghse*.
&àsù
noas tseÈquenade
teehaLeJ.âââ1 Bousls
ferogesssolr a*is e*u1*aeat,
aËasvâaôrisns êtaborô f,alre lrlsventaire
âa
nosæatérle}g.
Qsa*ere bolgs'âsÇ*pàrtt , 1i-;;
nâuËe p*c*fàt
J-finventaj.rsr lt est parti
avEôlee çigà ae'tôat**t-Fcu$ tircas notre.pSar.
Housallsns fal,re Lflnventelre {* àe qa*f}.a art i*faaé1
?! q"l
neuË.rarrLantet
nsucallons
çgtL€,ersssblan dç
ieen"p1.ôieecil-nous faut; et
nousferone part à rous ree tsyÀ-q;i;;;i;i-ilo*
ald.cr,
pénévolenaent,à *?" condition, q*e ii i*"-*=^gÈ;-Ë;".i;;-
|a
teebnl"clêBpoFtique
tr'ûurtntériàure
nËaÊ?s:ser-,lireiqulTo
du.pêrËr nl
â*Ëegol
r.estraàult-nàtrà a$gâirâÀ-À"-p*râlgi
pânâaàr- d.qnetradnJ.t ses
notrE.pen*ée f$rer.l3ee.Srsst . Et scus sril, Ëç
guf, Céerdons,tra*uit po"--iiâelàsentr-;;îrs-L-rr Âlora , Le tâerralcier ôirçËs
dEreettflsr. Ft nl 1l a
èeereigeâe ai nç-pàc
cnJ.Trelti"nd"àeatlan q*s
nûusluL
éeinnsns,il
ÀurârtÀaiieâtren ae
nû11sexplLquar *a façen
$g,Feneor. st àl
nar:e yçyê!18 quÊ frâtacon
aâvolr
esnscrËe &yaelrxntértt natisnal,
Ëes€ rràeËàpteas.blals
s€us nts FêT;lYo*alae 3ui ûsnner ïrinLtiatirç, I1. peut fairc
dee
pqoporitLoxà
ee&esétant plae rxpdrireanté que-nousr-ii p"ut--
nous
faLrc
ôes proposJ.tloseet se ntâet
quë quJ;r6 eeeiropoËrtiene g?*t
adaptéesnulvant ttintérât nettonal-qua*çà
peuË pâurôr-alrûeuvre.
.&vantoela,
nous nÊ FenysaÉpae*a*nÀttià
q.êâl;;-gin, qal effl.vent
shas nou€ esranstèohnlets;e
f,assentiçË pfâns ;i-- 1*" appliquant,
en dçhore clsrteuc, erest
u,n€ aLûe qus nrrrs ysa€deua"nôon* qnand nous vous êemand,oas dee
technl,al"sn;,
$fesi
nse-elêg et tout consort'Et
qu,êlïûss vûus
ilenardone qnçnd quandvoui êtee ïcus inetalrés
yôus âe*.an{sne densle psys,li
acecapftaar
""t
d* bs*ra_règle g}:gn
suJ.vsle Bclltlque
d.upayc. 11
r:e-pâu€pâs
-y
Ecsj-r*eax polltt
queg &ânean
paya"- &i. le Frégld.ertr psur
Sel"aLrçr uB peaplua la
quest3.on préeéôeata*seue:.J.1cs*voue dee- tachnl"olane baLgia?
i'rdféres:vous traitir-av6o
6ux, ôirootercent êu
pexvole âe
11*$T?-
Keusadoptere*r sn
eesnatlèrea la
eâaepaeitlon quç
nrlraporta qu*3. Fatrsç€Îêatà tllrel
quaxd nsusaarûar Saft rotrà lnvastâIrc
no1r8 adrçssane
à qut
Eous voul-enc,'bier
entcnûr,r,,à qrrl
nêus vçulggE-
pereÊqu€avant tautr srest
Eou€q.ul
ÊTûBFbEeqir de teehal,sirhÊ -
seuE aêreeeerrrys -un
appel à toutea-les
bsnpesvclontéc.rl *ty
&ura eustrns
préféreÊe€.
Sçus nÊ ehershpna que ôen benneg vo].ântéa.}es
bsnnçeçolontée qul veuLsnt
nouË aLder Sûarltédiflcatlcn
dErotre
pays.Sn
ee qui
çâËGârael.* Belgiqua,
yÊus dlevcgncvoir
quelee rela- tlone
d"l"plonaatl.queeont été roapusa,
aveole Belglque et
queil
est
d.eIrintérêt des teahnlciens belgea dtabord
etiftre
aeàurésger Lcur peys * €t ai lle
peuventêtre
aseuréa trrsrnous , êtro
égalencnt sssarés Bar
eux.5Êaisel, tl y s us belge r pâr àrenptç;
qul ....,
Ëoucne
savone paeprendre eette reapdneabillté.
11fauârai.t alere,
d.aresês eonâitl,ens, attehère jusqutà ee
qnelaa
ralstiene êlploaat1q*ee eçrqnt rétabLLaE.
Sarcequê psu.rle
æemant,Ëûus eceneË oeeup$a ea
relèyaaent êe notre pays, frt
nâus scYoyËtrê
pes
oeæesnt Trspeuple qal a été notrc édusatcur et qut
nous&
attaqué
streûreaprèa, sûnsêllt
naue psuvons €lireetenr.ent,nalnte- nant rétablir
noerelatlons.31 faut lal"seer Le tenpe feire
eontravail.
./..