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Les problemes des professeurs debutant dans l'enseignement professionnel superieur

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professionnel superieur

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Brunschot, van, R. A. M. (1986). Les problemes des professeurs debutant dans l'enseignement professionnel

superieur. In J. T. Voorbach, & L. G. M. Prick (Eds.), Teacher education : research and developments on

teacher education in the Netherlands (Vol. 2, pp. 142-148). SVO.

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Gepubliceerd: 01/01/1986

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(2)

LES PROBLEMES DES PROFESSEURS DEBUTANT DANS L’ENSEIGNEMENT l’ens

PROFESS IONNEL SUPERIEUR d but

artic

PROBLEMS OF BEGINNING TEACHERS IN HIGHER VOCATIONAL EDUCATION étude

de ce R.A.M. van Brunsehot

n ‘ont

1. Les objectifs de cette étude inven

Ces dernières années ~ue1ques etudes concernant les problèmes des P

professeurs débutant dans l’enseignement secondaire ont vu le jour ous aux Pays Bas (Griffioen 1980, Vonk 1982, Créton et Wubbels 1984). cat g

Par contre, on dispose de trés peu d’information

a

propos des —

problémes d’un autre groupe de professeurs,

a

savoir ceux et celles —~

qui débutent dans l’enseignement professionnel supérieur. D’oü — va

les deux questions suivantes qui ont

ete

étudiées: - cre

— Est—ce que les professeurs débutant dans l’enseignement profession— — e~

nel supérieur ont le méme genre de problémes que leurs collègues — en.

débutant dans l’enseignement secondaire? — p~.]

— Est—ce que les programmes d’assistance produisent les mémes — ~ 1

résultats pour les deux groupes de professeurs? — es

Afin de trouver des réponses

a

ces questions, une certaine quantité se d’information a été recueillie

ê.

propos du fonctionnement du premier Une d~

groupe de professeurs débutants et

a

propos d’un programme succe~

d’assistance qui leur était propose. que 1~

dech: 2. La méthode de recherche

Dams Un programme d’assistance a été offert

a

tous les 52 professeurs succe~ débutant en 1983 et en 1984

a

L’Institut d’Enseignement Professionnel seconc Supérieur

a

Eindhoven (Pays Bas). Pendant les quatre premiers mois de l’ord:

leur prise de fonction les professeurs (aussi bien ceux qui l’ens

participaient au programme d’assistance que ceux qui n’y participaient quest:

pas) ont fait l’inventaire de leurs problèmes

a

l’aide de trava:

questionnaires. 51 y ont répondu, 16 en 1983 et 35 en 1984. 22 d’entre Probl eux avaient déja travaillé ailleurs dams l’enseignement pendant au

moms deux ans. Ils me sont pas considérés dans cette étude connie des professeurs débutants. Parmi les 29 autres, 19 ont travaillé aupara—

vant dams l’industrie. C’est surtout l’enseignement technique La di~

supérieur qui recrute ses enseignants dams l’industrie. La re]

Parmi les 51 professeurs, 12 ont participé au programme d’assistance l’éva] et ont répondu aprés

a

une série de questions concernant le contenu, La re] 1a I orme et les résultats du programme. Les r&onses aux questions

a

Le mar propos des problémes des professeurs débutants ont

ete

comparées aux Les m~ résultats d’une étude internationale concernant les problémes des La mat

professeurs débutant dan l’enseignement secondaire (~3). Le ~4 La pr~

décrit quelques differences entre les professeurs ayant travaillé L’ambi dans l’industrie et ceux qui n’y ont pas travaillé. Le ~5 indique les La dic domaines dans lesquels les professeurs débutants considCrent qu’une T bi assistance serait utile. A la fin de cet article, les résultats des a e~

programmes d’assistance dams l’enseignement secondaire et dams Si l’c

l’enseignement professionnel supérieur ont

etC

compares (~6). cette

3. Les problémes des professeurs dCbutants group~

Les pi Pour pouvoir comparer les problèmes des professeurs débutant dams

(3)

3 des a jour ~84). 3 celles )fession— Lègues ~iant i té premier aurs assionnel 3 mois de ticipaient ~2 d’entre ant au ~omine des aupara a is t ance Dontenu, stions

a

rées aux a des 4 aillé lique les qu’une ats des

l’enseignement professionnel supérieur et ceux des professeurs

débutant dan 1’enseignement secondaire, nous nous somnies servis d’un article de Veeninan (1984) dans lequel il resume les résultats de 83 etudes internationales dans ce domaine. Avant de donner les résultats de cette comparaison ii est nécessaire d’indiquer que les problèmes n’ont pas

ete

dénommés d’une maniCre complètement identique dans les inventaires des deux groupes de professeurs. Seuls ont

ete

retenus les problémes dénommés plus ou moms de la méme manière. Toutefois, tous les problémes importants font partie de la liste suivante de 10 categories:

- znaintenir la discipline dans la classe

- développer une bonne relation avec les étudiants

—évaluer le travail des étudiants

— créer une bonne ambiance de travail

- le manque de temps pour arriver

a

faire tout ce qu’il faut — entretenir une bonne relation avec les collègues

— preparer les cours

— utiliser les différentes méthodes didactiques

rester au courant de la matière

a

enseigner

- se servir de la didactique spécifique

a

1a matière

Une deuxième remarque concerne le fait que ce sont des ordres de succession qui ont été compares. Une implication importante en est que le poids de chaque problème n’a été déterminé qu’â l’interieur de chaque groupe.

Dans la comparaison suivante la premiere colonne indique l’ordre de succession des problèmes des professeurs débutant dans l’enseignement. secondaire établi d’après Veenman (1984). La deuxième colonne indique l’ordre de succession des problèmes des professeurs débutant dans l’enseignement professionnel supérieur établi d’après les données des questionnaires mentionnés au(2 et remplis par les professeurs ayant travaillC moms de deux ans dans l’enseignement.

Problèmes dans les domaines suivants Enseignement Enseignemert Secondaire Professionnel

n>3000 n29

La discipline dans la classe 1 8

La relation avec les étudiants 2 9

l’évaluation du travail des étudiants 3,5 7

La relation avec les collègues 3,5 10

Le manque de temps 5 1

Les méthodes didactiques 6 4

La matière

a

enseigner 7 3

La preparation des cours 8~ 2

L’ainbiance de travail 9,5 5,5

La didactique spécifique

a

la matière 9,5 5,5

Tableau 1: Les deux ordres de succession compares

Si l’on considère un écart de trois places comme une grande difference, cette comparaison montre que dans neuf ca~gories sur dix, les deux groupes different d’une manière importante:

Les professeurs débutant dans l’enseignement professionnel supérieur dans

(4)

mettent quatre problèmes

a

une place plus basse dans leur ordre de succession, I savoir: la discipline, la relation avec leurs étudjants, l’évaluatjon du travail des étudiants et la relation avec leurs

collègues. Trois de ces quatre problèmes indiquent des aspects relationnels de la fonction de professeur.

Ces mêmes professeurs mettent cinq problImes I une place plus haute dana leur ordre de succession, I savoir le manque de temps, l.a niatière

a

enseigner, la preparation des cours, l’ambiance de travail et la didactique spécifique I la matière. En supposant une relation entre “le manque de temps” et les autres problèmes, on peut les considérer ensemble comme des aspects didactiques de la fonction de professeur. 4. Comparaison de deux groupes de professeurs débutants

En regardant d’oi~i viennent les 51 professeurs, on peut distinguer trois groupes:

1. Ceux qui ont travaillI plus de deux ans dans l’enseignement avant leur entrée dans l’enseignement professionnel supérieur. Ces professeurs ne sont pas considérés comme des débutants (n = 22). 2. Ceux qui ont travaillé dans l’industrie avant de venir dans

l’enseignement (n = 19).

3. Ceux qui viennent (presque) directement de leur institut de formation. Les professeurs qui ont travaillé moms de deux ans ailleurs dans l’enseignement, font aussi partie de ce groupe (nlO) Les réponses des groupes 2 et 3 sont étudiées de plus près.

Si l’on distingue

a

l’intérieur de l’ordre des problèmes de tous les professeurs débutants Un ordre de problémes de ceux qui ont travaillé antérieurement dans l’industrie, et un ordre de problèmes de ceux qui viennent directement de leur institut de formation, trois problèmes se retrouventl des positions très différentes: les

professeurs provenant de l’indugtrje mettent

a

une place plus haute dans leur ordre: les problImes de la matière

a

enseigner et de la didactique spécifique I la inatière. Ils y mettent I une place plus basse le problème de l’évaluation du travail des êtudiants. Voir tableau 2.

ProblImes Enseignement Enseignement professionnel

secondaire supérieur n > 3000 Dans le tE soul ignée~ professeui formation l’ordre dE Ceci n’est débutant d de leur in Cette conc de ces tro 1 ‘enseigne liées I la de l’indus “le manque importants avec l’un 5. Les pro Entre

i’m

déve loppem trouver Un problèmes question n Ce groupe de problem ( “pas ut successive — le score — le score auparava — le score moms di Assistance La matière La didactii mat iIre La discipl La relatio: Lea method L ‘évaluati~ étudiants Tableau 3: En comparai professeur~ domaine de de “La didi autres dom~ enseigner” résultats un problèm La discipline dans la ciasse

La relation avec lea étudiants L’évaluatjon du travail des étudiantg

La relation avec lea collIgues Le manque de temps

Lea méthodes didactiques La matière

a

enseigner La preparation des cours L’ambjance de travail La didactique spécifique

Industrje Formation Total

n19 nlO n=29 8 6 8 9 10 9 1 2 3,5 3,5 5 6 7 8 9,5 9,5 7 3 10 8,5 1 1 4,5 4 3 2 2 6 6 4,5 8.5 7 10 1 4 3 2 5,5 5,5 Tableau~:Les ordres de succession des problèmes de deux groupes de professeurs

(5)

ordre de S étudiants, leurs pects lus haute la matière ii et la ion entre DOnSidérer rofesseur. t inguer aent avant Ces = 22). lans :de ~ux ans oupe (n10) tous les travaillé Le ceux is us haute de la ce plus Vo ir rofess ionnel mation Total = 10 n = 29 6 8 10 9 3 7 8,5 10 1 1 4 4 6 3 2 2 6 5,5 ~ 5,5 upes de

Dans le tableau 2 les differences entre lea deux groupes sont soulignCes. On peut constater que là oü il y a des differences, lea professeurs débutants venant directement de leur institut de

formation indiquent un ordre de succession qui ressemble beaucoup

a

l’ordre de succession des professeurs de l’enseignement secondaire. Ceci n’est pas surprenant, en tenant compte du fait que les professeurs débutant dansl’enseignement secondaire viennent en général directement de leur institut de formation aussi.

Cette concordance nous fait supposer que les differences de position de ces trois problèmes dana les deux ordres de succession de

l’enseignement secondaire et de l’enseignenent professionnel sont liées

a

la presence, dans cet enseignement—ci, de professeurs venant de l’industrie. D’autres problèmes par contre, connie par exemple “le manque de temps” et “la preparation des cours” sont des problèmes importants dans cet enseignement, sans qu’il y ait un lien special avec l’un des deux groupes de professeurs.

5. Lea problémes et lea activitCs d’assistance

Entre l’inventaire des problémes des professeurs débutants et le développement d’un programme d’activités d’assistance, doit se trouver un stade intermCdiaire. Il faut savoir

a

propos de quels problémes les professeurs supposent qu’une aide soit utile. Cette question n’a

etC

posée qu’au groupe de professeurs de l’année’84-’85. Ce groupe a indiqué l’utilité d’une assistance dans quelques domaines de problèmes. Il ont donné leurs rCponses en choisissant entre 1

( “pas utile”) et 5 ( “très utile). Dana le tableau 3 sont indiquCs auccesaivement pour chaque problème:

Ic score moyen du groupe total de débutants ‘84-’85 (n = 19)

— le score moyen du groupe partiel de professeurs ayant travaillé auparavant dans l’industrie (n = 12)

le score moyen du groupe partiel de professeurs venant plus ou nioins directement de leur institut de formation (n = 7)

Tableau 3: L’utilitC d’une assistance dans quelques domaines

En comparant lea scores sous “Groupe total” on peut constater que les professeurs dCbutants considèrent l’utilité d’une assistance dans le domaine de “L’Cvaluation du travail des Ctudiants” et dans le domaine de “La didactique spCcifique 1. la matière” plus grande que dana lea autres domaines mentionnés. Dans le domaine de “La matière

a

enseigner” une assistance eat considCrCe connie la moms utile. Les résultat& des tableaux 3 et 1 montrent d’une manière assez claire qu’ un problème indiquC comme très importart, n’est pas considCrC par là

Assistance dans le domaine suivant Groupe Groupes partiels

total “Industrie” “Format ion” ~tièreàenseigner2,63,2~7 La didactique spCcifique

a

la

matière 3.3 3.6 3.0

La discipline dana la classe 2,9 3.3 2.3

La relation avec lea Ctudiants 2.8 3,0 2.4

Lea méthodes didactiques 2.95 2.9 3.0

L’Cvaluation du travail des

(6)

comme un terrain o~i un programme d’aide serait utile. En comparant les deux groupes partiels on peut d’abord constater que les

professeurs venant de l’industrie considèrent une aide dans presque tous les domaines comme plus utile que les professeurs venant d’un institut de formation. Il y a des differences

a

i point dans le domaine de “La matière

a

enseigner” et dans le domaine de “La discipline dans la classe”. La premiere difference correspond avic celle constatCe dans le tableau 2: le groupe “Industrie” indique là aussi que “La matière

a

enseigner” eat un grand problème. La seconde,

a

savoir “La discipline dans la classe” ne correspond pas avec le résultat du tableau 2.

6. Les résultats des programmes d’assistance

Les 12 professeurs débutant dans l’enseignement professionnel supéri— eur qui ont participé aux activités d’assistance ont donné leurs réponses

a

quelques questions concernant les résultats de ces

activités. Plusieurs groupes de professeurs débutant dans l’enseigne— ment secondaire qui avaient eux aussi participé quelquea années auparavant

a

des activités d’assistance, avaient, a cette époque, répondu aux mêmes questions. Ici lea réponses de ces deux groupes sont comparées.

Il y a de grandes differences entre les programmes d’assistance qui oat été offerts aux deux groupes. Dans l’enseignement secondaire quelques professeurs ayant entre 5 et 10 ana d’expérience,

rempliaaaient le rôle de “counsellor”, après avoir suivi un

entratnement. Chaque “counsellor” était régulièrement present dana un cours de son collCgue débutant et easayait de l’aider è. améliorer sa manière d’enseigner en parlant avec lui du coura. En plus, les profeaaeurs débutants se rassemblaient régulièrement pour échanger leurs experiences (voir pour plus de details: Van Brunschot 1982, 1984). Dans l’Institut d’Enseignement Professionnel Supérieur, le système de “collègue—counsellor” n’a pas pu étre pratiqué, parce qu’il n’était pas possible pour des professeura expérimentés de suivre tin entralnement de counsellor. Les activités d’assistance ae limitaient

a

une dizaine de reunions, pendant lesquelles les

professeurs débutanta parlaient de leur maniCre d’enseigner entre eux et avec deux “counsellors” presents, un fonctionnaire de l’Institut et l’auteur de ce texte.

A partir de ces differences de programmes, on peut a’attendre

a

des differences entre les résultats de l’assistance dana les deux groupes. Tous lea professeurs oat répondu

a

in même série de questions:

— Est—ce que l’assistance vous a donné un soutien moral?

— Est—c~ que l’aasistance vous a donnC de in confiance en vous? — Est-ce que l’assistance vous a aide

a

vous rendre compte de vos

possibilités en tent que professeur?

— Est—ce que l’asaistance vous a permis d’arriver

a

un niveau

satisfaisant d’enseignement?

Lea professeura ont répondu en choisissant leurs réponses entre 1 ( non, pas du tout) et 5 ( oui, beaucoup). Dens le tableau 4, lea moyennes sont indiquées par une croix Cx) pour ces professeurs débutant dana i’enseignement secondaire (n~’30), et par un road (0)

pour des supérieuj Résultat~ Soutien ~ Coal iancE Poasibili InfluencE d ‘enaeigr Niveau a~ Tabeau 4: Lea diffé eat de 0. (p0 as i b i 1 des résul que les d résultats 7. Conclu Cette étu meat ionné - Les pro n’ont pas dana l’en probl Cmes groupe, C - Lea rep programme secondair 1 ‘existen En plus d conatatio: — A l’jflt( professio: plus de p: “la didac directeme: — Les pro: domaines didactiqw mêine s’ii~ Dans ce t< Bruns c hot ‘iersiag v~ Brunachot praktijk’.

(7)

comparant es ns presque nant d’un ns le domaine cipline dans constatée que “La

a

savoir résultat du nnel supéri— .~ leurs eec 1 ‘ease igne— années époque, groupes stance qui :ondaire Un ~sent dans

a

améliorer )1US, lee échanger jot 1982, ~ieur, le ~, parce ités de ~istance se 1 es ~er e.ntre ~ de andre

a

des deux groUpes. tions: a vous? te de vos iveau s entre 1 leau 4, les sseurS n rond (0)

pour des professeurs débutant dane l’enseignement professionnel supérieur (a 12).

Tabeau 4: Lee résultats des programmes d’assistance

Les differences entre lee deux groupes sont petites. La plus grande est de 0.5 point (confiance en soi), la plus petite est de 0.15 point (poseibilités). En supposant qu’en principe cette manière de mesurer des rCsultats peut indiquer des differences, on peut constater ici que les deux programmes pourtant diffCrents on produit les mémes résultats.

7. Conclusion

Cette étude permet de donner les réponses suivantes aux deux questions mentionnées dans le~ 1:

— Lee professeurs dCbutant dane l’enseignement profeesionnel supérieur

n’ont pas le mCme genre de problèmes que leurs collégues dCbutant dans l’enseignement secondaire. Le premier groupe rencontre plus de problémes didactiques que de problèmes relationnels. Pour le deuxième groupe, c’est le contraire.

— Les réponses aux questions utilisées pour mesurer lee résultats des

programmes d’assistance dane lee enseignements professionnel et secondaire n’ont pas indiqué de differences de résultats, malgré l’existence de grandes differences entre lee deux programmes.

En plus de eec deux réponses, cette étude permet de faire deux autres cons tat ions

— A l’intérieur du groupe de professeurs débutant dane l’enseignement

professionnel supérieur, les professeurs venant de l’industrie ont plus de problémes dans lee domaines de “la matière

a

enseigner” et de “la didactique spécifique

a

la matière” que lee professeurs venant directement de leur inetitut de formation.

— Les professeurs considCrent l’utilité d’une assistance dane lee

domaines de “1 ‘evaluation du travail des étudiants” et de “la didactique spécifique

é

la matière” plus gra~de que dane d’autres, méme s’ils y rencontrent plus de problèmes.

Dane ce texte, oat

ete

mentionnées lee publica-t~ions suivantes: Brunschot,R.A.M. van, ~eieiding~ van beginnende leraren. Deel 2: verslag van de begeleiding van beginnende leraren op i~et Eckart College. TH Eindhoven, 1982.

Brunschot, R.A.M. van, ‘Begeleiding van beginnende leraren in de praktijk’. In: Ti~dschriftvoor Op~~din enOnciei’wijs, 3, 1,

Résultats non oui

2 3 4 5

Soutien moral . . - o x

Confiance en soi . . .0 x

Possibilités . . . ox

Influence cur in manière

d’enseigner . - o x

(8)

februari 1984, pp. 13 — 27. DIDACTICS

Créton, H.A. en Th. Wubbels, Ordeproblemen bij beginnende leraren J.j. Pete (diss.)., Utrecht, 1984.

1. Introd Griffioen, J., Supervisie van beginnende leraren. Groningen, 1980.

For some Veenman, S.A.M., ‘Perceived Problems of Beginning Teachers’. In: been cond Review of Educational Research, vol. 54, no. 2, pp. 143-178. only at th

Vonk, J.H.C., Opleiding en praktijk. Amsterdam, 1982. type of f

this deal tion, p01 didactics presentat maintainii attention In genera: this has problems the inser’ are rarel’ inserv ice theory ab either a is more 0: that it c learned: take into becomes wi it is the thumb thec or on non-in a clos technique on proven generalis~ in which arrive at training, I shall mc 2. The as~ training Inservice The terms These mc] which are activitie~ service ar connect ior In the Nel Departmenl part icul ai provide cc

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