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Félix Félix T T T T Tshisek shisek shisek shisekedi a-t-il donné le shisek edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le baiser de J

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Question troublante sur la lune de miel entre UDPS et UNC

Félix Félix Félix

Félix Félix T T T T Tshisek shisek shisek shisekedi a-t-il donné le shisek edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le edi a-t-il donné le baiser de J

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Hebdomadaire d'informations générales, d'opinions et d'actualités.E-mail :

letelegrammeducongo@yahoo.fr, Adresse : Concession PROCOKI, Q /GB, Kinshasa/Kintambo-Tél. 085 1105 561 -Prix

: 2000Fc, Année 2014, n°047, 11 Mars

SOMMAIRE SOMMAIRE SOMMAIRE SOMMAIRE SOMMAIRE

11 ans après

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P.7

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Bouteflika : un vieillard usé à la tête de l’Etat

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○ ○ ○ ○

Sous la présidence de l’Angola

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P.15

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○ ○ ○ ○

P.13

Augustin Matata Ponyo au Ministère des Finances !

P.5

P.4

1 an après la signature de l’accord-cadre d’Addis-Abeba

L’Est de la RD Congo

toujours une zone grise

P.2

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émerger les « frères du village » dont le crétinisme et le manque de vision ont plombé l’avenir de nombreux pays et pollué la politique africaine déjà mal en point par le choix initial des premiers chefs d’Etat par l’ancien colonisateur.

En somme, il en a découlé une inversion de l’échelle des valeurs : la fidélité a remplacé l’honnêteté intellectuelle et son pendant, l’honnêteté morale, y compris avec ce qu’elle avait de détestable : la délation et le soupçon (pour une vision ou un comportement non conforme à la ligne politique officielle).

Pour cette raison, de nombreux régimes ferment les yeux sur les crimes financiers (détournements) commis par des fidèles. Une situation jamais atteinte – du moins à cette échelle – sous le parti unique. On peut noter que même les coups d’Etat n’étaient pas Par Antoine Nguidjol

2 LE BILLET DE LA SEMAINE

Adresse

1 Avenue de l’OUA, Con- cession PROCOKI, Q /GB,

Kinshasa/Kintambo- Editeur directeur général Antoine Nguidjol

085 1105 561 Email

letelegrammeducongo@yahoo.fr Directeur de publication

B. KANDA MUJANGI Tél.: 0813779660

REDACTION : AARON MAYELE

PRINCE MIZA ZENGA NTU

DE BANZY A. MBUNGA-NA-TOKO

JOSEPH KIKUNI JOELLE MWABILA Assistante marketing

BELINDA LUZOLO JACOB NZAM MARKETING LOGISTIQUE

ET DISTRIBUTION ROMAIN MAKIESE POINTS DE VENTE DU

TÉLÉGRAMME DU CONGO : Concession Procoki, Contact : Chrys Daya :

Tél. 08 44 699 151 - commerciaux :

0822255541 Conception et Mise

en page Joseph Lounda

0812381281

L

es images qui nous

parviennent du pouvoir algérien ces deux dernières

années sont d’autant plus choquantes que ce pays a toujours été un modèle politique pour de nombreux pays africains de l’ouest (comme c’est encore le cas pour le Mali et le Niger où la diplomatie algérienne est une donnée incontournable dans la résolution des problèmes de la région - à un degré au moins égal à celui du royaume chérifien) et aussi pour les pays d’Afrique centrale et australe (les

républiques des deux bords du Congo, le Cameroun ou l’Angola depuis les guerres

d’indépendance des années soixante, la Rhodésie, la Namibie, le Mozambique,

l’Afrique du Sud, en soutien des « pays de la ligne de front »), etc.

Qui ne se souvient que la guerre d’Algérie et la victoire du FLN furent des facteurs déclenchant du mouvement des indépendances en Afrique noire ? Qui oublie que la fierté nationale – qui est au cœur de la pensée politique de tous les régimes algériens – des présidents Ben Bella à Bouteflika (ses premiers mandats), en passant par les présidents Chadli Benjedid, Zeroual – a toujours été enviée par les penseurs politiques africains, à défaut d’être la posture des acteurs politiques des pays d’Afrique noire ? Au demeurant, personne n’ignore que le fait de

Bouteflika : un vieillard usé à la tête de l’Etat

Mais le mauv Mais le mauv Mais le mauv

Mais le mauv Mais le mauvais e ais e ais e ais ex ais e x x xemple vient-il de l’Algérie ? x emple vient-il de l’Algérie ? emple vient-il de l’Algérie ? emple vient-il de l’Algérie ? emple vient-il de l’Algérie ?

sortir la tête haute d’une guerre d’indépendance et de parler d’égal à égal avec son ancien colonisateur est le creuset où se crée la nation. Le cas de l’Indochine a largement inspiré le FLN qui, à son tour, a largement inspiré divers mouvements indépendantistes en Afrique noire, notamment en Afrique de l’ouest, du centre et du sud.

Emile Durkheim soulignait, à juste titre, qu’une nation se construit et se nourrit d’une histoire commune (même lorsqu’elle est simplement inventée). Les Français firent des générations entières de nègres francophones des gaulois.

Ce fut l’une des forces opérantes de l’empire français qui dura jusqu’au milieu du 20 ème siècle.

L’empire français ne périclita que lorsque le mythe se brisa contre les récifs de la réalité – celle des droits que l’administration impériale refusait de reconnaître à ses sujets non européens.

Les images qui nous viennent du pouvoir algérien, disais-je, sont d’autant plus révoltantes que l’Algérie fut en pointe dans la lutte anticoloniale et dans la critique anti- Bourguiba – un vieillard sénile qui, à plus de quatre- vingt ans, se cramponnait au pouvoir en Tunisie comme le corail au récif.

Les images d’un Bouteflika malade – faisant la navette entre Alger et le Val-de-Grâce en France ne sont aucunement celles que nous retenons comme choquantes si l’on oublie que le même homme s’est voulu le chantre d’un pseudo nationalisme tardif en « obligeant » l’actuel président français à exprimer ses regrets face aux atrocités de la période coloniale. Mais, d’un autre point de vue, les images du président algérien malade

nous rappellent celles du pape Jean-Paul II offrant la misère de son corps usé par la maladie aux fidèles catholiques. Cette image de vérité là – celle d’un homme auréolé de puissance au point d’apparaître à d’aucuns comme le Messie algérien – était absolument nécessaire. Reconnaître que tout homme est homme – et donc sujet au déterminisme de la nature (surtout au vieillissement) – réconcilie les hommes et démontre, de manière évidente, qu’un jour ou l’autre, tout homme – fût-il président - atteint sa limite. Et cette limite là, lorsqu’elle est montrée aux citoyens, doit entraîner des conséquences politiques.

C’est le fait de ne pas tirer cette conséquence – qui rappelle en contrepoint celles que tirèrent en leur temps les vieillards Mandela et Benoît XVI - et d’imaginer que l’Algérie, à son tour, s’avance sur les chemins troublants de la patrimonialisation de l’Etat – qui est choquant. (Lire à ce sujet l’article de notre confrère De Banzy :

« Bouteflika est-il toujours maître de lui ? »

Le défaut de conséquence politique est d’autant plus choquant que, non seulement l’Algérie refuse de manière publique de rester un modèle pour l’Afrique noire en mettant en évidence l’anachronisme des régimes camerounais, équato-guinéen, angolais, congolais etc., - mais, qu’a contrario, elle s’inspire des exemples aberrants de clonage politique dans certains pays d’Afrique noire. On voit bien que ce énième mandat de Bouteflika risque – à coup sûr – d’accoucher d’une

« transition » à l’africaine.

Il n’est d’ailleurs pas exclu de voir l’actuel président

algérien démissionner dans quelques mois en faveur d’un membre de sa famille. Seulement voilà, les choses ne sont pas si simples dans cette Afrique noire prise comme modèle. Elles le seront moins encore pour l’Algérie – un pays dont les citoyens ne portent plus à cœur ni le FLN, ni même l’ensemble de la classe politique algérienne – et qui n’a survécu que grâce à la toute puissance de l’armée algérienne. Une toute puissance somme toute relative qui peut être mise en jeu par un sursaut des citoyens ou par les mouvements djihadistes dans le sud algérien et dans les autres pays d’Afrique du nord. La nervosité de la police algérienne cherchant par tous les moyens à brider les marches citoyennes témoigne de l’angoisse du pouvoir par rapport à l’avenir. En maintenant Bouteflika au pouvoir, l’Etat algérien admet implicitement qu’il n’a pas trouvé la clé de son avenir.

L’Algérie n’a pas connu son « printemps arabe ».

Il n’est pas exclu qu’elle le connaisse à son tour, de manière décalée et donc plus violente.

Les limites d’une transition « fratricielle »

Il est un fait : le

« bureau politique » des anciens partis uniques en Afrique aura plus apporté aux régimes africains en termes d’idées et d’horizon politique que ne le font actuellement les tribus et les progénitures qui gravitent autour de leurs parents au pouvoir.

Et si la démocratie est un idéal qu’une très large partie des citoyens africains approuve encore, il faut souligner qu’en sonnant le glas des idéologues, beaucoup regrettent qu’elle ait fait

Suite en page 12

(3)

LE

LE TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 AAU 18 MARS 2014U 18 MARS 2014

DROIT DE RÉPONSE 3

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Par Joseph Kikuni

A

la suite de l’article intitulé :

« Affaire Omar El- Béchir à Kinshasa : La RD Congo entre le marteau et l’enclume » paru dans l’édition n°

046 du 4 au 11 mars 2014, Monsieur Kalid Hassan Elnaiem, Chargé d’Affaires a.i. de

l’Ambassade de la République du Soudan à Kinshasa, nous a

adressé son Droit de réponse, que nous

publions intégralement ci-après conformément à la loi.

Tout en remerciant Monsieur le Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade de la République du Soudan à Kinshasa, de nous avoir

apporté la rectification qui rétablit la vérité sur l’article incriminé, nous saisissons également cette occasion pour présenter au diplomate soudanais nos sincères excuses pour l’erreur relevée dans l’article en question.

De même, nous demandons à nos lecteurs de bien vouloir rectifier, à la lumière de la lettre de Monsieur le Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade de la République du Soudan à Kinshasa, l’erreur nous reprochée.

No. Réf : AS/RDC/062/2014

Monsieur l’Editeur du Journal le Télégramme du Congo Kinshasa / Kintambo

Kinshasa, le 06 Mars 2014

Concerne : Indignation Monsieur l’Editeur,

L’Ambassade de la République du Soudan à Kinshasa présente ses compliments à l’Editeur du journal

« Le Télégramme du Congo » et a le regret d’exprimer son indignation suite à l’information erronée contenue dans l’article intitulé « Affaire Omar El-Béchir à Kinshasa, la RD Congo entre le marteau et l’enclume » parue dans votre journal en date du 04 Mars 2014.

L’Ambassade de la République du Soudan vous informe, par ailleurs que S.E. Monsieur Omer Hassan Al-Bashir, Président de la République du Soudan a été invité officiellement par S.E. Monsieur Joseph kabila Kabange, Président de la République Démocratique du Congo à prendre part aux travaux du sommet de la COMESA.

S.E. Monsieur le Président de la République du Soudan est arrivé à Kinshasa le 25 Février 2014 et après avoir participé aux travaux du sommet de la COMESA, il a bel et bien quitté Kinshasa dans l’avant midi du 27 Février 2014, à l’aise, sans précipitation et ni inquiétude, accompagné par S.E. Monsieur Matata Ponyo Augustin, Premier Ministre de la République Démocratique du Congo.

Ainsi, l’ambassade de la République du Soudan exige la rectification de cette information dans un plus

bref délai et saisit cette occasion pour vous renouveler les assurances de sa haute considération.

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4 POLITIQUE

Sous la présidence de l’Angola

La CIR La CIR La CIR

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sur les actes sur les actes sur les actes sur les actes

Par B. Kanda Mujangi

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ans le cadre de la présidence tournante, l’Angola a succédé à l’Ouganda, cette année, à la tête de la

Conférence

internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL). Pour les observateurs, ce

changement peut amener la paix et la sécurité tant

recherchées dans notre région quand on sait que sous la

présidence de

l’Ouganda, la CIRGL n’a joué que la carte des agresseurs de la RDC, à savoir le Rwanda et l’Ouganda.

En effet, c’est tout au long de la présidence ougandaise que les pseudo rebelles congolais, de création rwandaise, se sont distingués à l’Est de la RDC grâce au soutien de deux pays

agresseurs cités.

Au sujet de ce soutien, les rapports du groupe d’experts des Nations unies établissent clairement que le Rwanda

et l’Ouganda sont les soutiens des rebelles rwandophones opérant à l’Est de la RDC. Les auteurs de ces rapports, dont l’impartialité ne peut pas être mise en doute, ont été confirmés, d’une part, par les ONG nationales et internationales ayant des antennes sur place et d’autre place, par la Monusco dont le gros des forces est basé à l’Est de la RDC.

Si le Rwanda a été le principal soutien des rebelles du M23, l’Ouganda leur fournissait renseignements et logistique. Il ne faut pas s’étonner que ces rebelles aient trouvé protection en Ouganda

après leur débâcle à Banagana, où était basé leur QG.

L’Angola rassure

Ami de la RDC et première puissance militaire de la région, l’Angola tient à jouer pleinement son rôle en tant président de la CIRGL. Il en a déjà donné le ton lorsqu’il a annoncé qu’il fait de la sécurité dans la région des Grands Lacs sa priorité. La nouvelle stratégie consiste à privilégier la sécurité dans la région des Grands Lacs et l’Angola est disposé à l’imposer tout au long de sa présidence à la tête de la CIRGL.

Selon les sources concordantes dignes de

foi, c’est le chef d’état- major de l’Armée angolaise, le général Geraldo Sachipengo, qui a annoncé cette nouvelle.

Comment l’Angola va- t-il opérer ?

En RDC, la présidence angolaise de la CIRGL a été c h a l e u r e u s e m e n t accueillie et les propos rassurants du chef d’état- major des forces armées angolaises font renaître l’espoir. Mais, certains observateurs craignent que le Rwanda et l’Ouganda ne puissent, à la suite du changement intervenu à la tête de la CIRGL, adopter une nouvelle méthode de

nuire, qui les mettrait à l’abri. Pendant ce temps, les rumeurs de plus en plus persistantes révèlent que le M23 serait en voie de reconstitution.

Certains observateurs estiment que l’Angola pourra être amené à recourir à ses forces armées pour restaurer la paix dans la région des Grands Lacs où les FARDC sont déjà engagées à traquer les rebelles encore actifs. Si une telle hypothèse peut être possible, il y a lieu de s’en jouir, car les forces armées angolaises ont une expérience et disposent des capacités opérationnelles qui dépasseraient de loin la puissance de feu parfois reconnue, à tort, à la rébellion. Tant que les 1.700 rebelles du M23 restent en Ouganda sous la protection des autorités de ce pays, le danger demeure pour la RDC.

Dans le cadre de sa présidence, l’Angola peut amorcer les démarches nécessaires auprès de l’Ouganda. Malgré la bonne volonté de Luanda, il faut se méfier de la c o m m u n a u t é internationale, qui a son agenda caché pour l’Est de la RDC.

E-mail : direction@rayonverts.com Contact : 0844699147

Leader dans la désinsectisation et la dératisation.

Adresse : 01, Av. OUA, Kinshasa / Ngaliema,

Concession Procoki

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LE

LE TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 AAU 18 MARS 2014U 18 MARS 2014

5 POLITIQUE

Sur l’éventuelle candidature de Joseph Kabila en 2016

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Lamber Lambert Mende et t Mende et t Mende et t Mende et t Mende et V V V Vital K V ital K ital K ital Kamerhe en désaccor ital K amerhe en désaccor amerhe en désaccor amerhe en désaccord amerhe en désaccor d d d d

Par B. Kanda Mujangi

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u cours d’un entretien, le dimanche dernier, avec les journalistes de la RFI, Lambert

Mende, ministre des Médias et de la Communication, a, en réponse à une question sur l’éventuelle candidature du président Kabila en 2016 ; affirmé que l’actuel chef de l’Etat ne se présentera pas à la prochaine élection présidentielle. Pour Lambert Mende, le président Joseph Kabila, qui est respectueux de la Constitution, cèdera, en 2016, la place à son successeur qui sera élu.

Le porte-parole du gouvernement reconfirme que la Constitution ne sera pas modifiée dans le sens à accorder au président en exercice la possibilité de briguer le troisième mandat.

Contacté par la même équipe de la RFI, quelque temps après l’entretien ave le ministre Mende, Vital Kamerhe, encien secrétaire général du Parti

du peuple pour la Reconstruction et le Développement (PPRD, principal parti de la majorité présidentielle) et ancien président de l’Assemblée nationale, aujourd’hui président de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC, opposition) a été interrogé sur le même sujet.

En réponse, Vital Kamerhe a émis le doute sur la sincérité des propos du ministre Mende, qui est le porte-parole du gouvernement. Pour le président de l’UNC, Joseph Kabila, le premier intéressé, devait annoncer sa décision, à défaut, passer par son propre porte-parole.

Au sujet du troisième mandat du président Kabila à la tête du pays, les rumeurs de plus en plus folles tendent à faire accrédieter l’idée selon laquelle la Constitution sera modifiée pour permettre à l’actuel chef de l’Etat d’être candidat à sa propre succession en 2016.

Deux faits renforcent ces rumeurs

Premièrement, au lieu de deux tours du scrutin présidentiel, celui-ci a été ramené à un seul tour et l’Assemblée nationale a dû modifier la Constitution pour la présidentielle de 2011.

Cette modification de la Constitution a été motivée comme dictée par les

« contraites budgétaires. »

Deuxièmement, le professeur du Droit constitutionnel Evariste Boshab, ancien président de l’Assemblée nationale et actuel secrétaire général du PPRD, aurait écrit un volumineux ouvrage dans lequel il d é m o n t r e r a i t l’opportunité de modifier la Constitution pour accorder au président Kabila le troisième mandat.

Selon certains témoignages, dont la crédibilité est très difficile à établir, Boshab aurait pris seul l’initiative d’écrire son fameux ouvrage pour tenter de conditionner le

chef de l’Etat dans le sens diamétralement opposé à toute modification de la Constitution en sa faveur.

Courroucé, le président Kabila aurait désapprouvé l’ouvrage concerné, lequel aurait disparu de la circulation après une timide distribution.

Au stade actuel, certains stratèges de la majorité présidentielle, qui perdront leurs privilèges si demain Joseph Kabila quitte le pouvoir par respect de la Constitution seraient loin de désarmer.

Encouragés par contagion – voire ce qui se passe en Afrique – il initieraient des scénarios pour convaincre le principal intéressé, c’est- à-dire Joseph kabila, qui serait, pour le moment, irréductible.

Question troublante sur la lune de miel entre UDPS et UNC

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epuis le début de cette année 2014, l’actualité politique dans notre pays est dominée, en ordre décroissant, par le bras de fer entre Vital Kamerhe et le pouvoir, la

présentation de la feuille de route du cycle électoral 2013- 2016 et l’initiation de la pétition exigeant « le dégagement » de l’abbé Malumalu à la

tête de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), par la plate-forme politique dirigée par l’opposant Martin Fayulu, et point n’est besoin de préciser ici que c’est l’épreuve de force engagée entre l’UNC et le pouvoir qui vole la vedette à tous les événements

récents au regard de la passion et de

l’attention qu’elle suscite dans le

subconscient collectif.

Par Kikuni Joseph Pour rappel, les déboires

et le calvaire du président de l’UNC ont commencé quand il avait exprimé des prises de position contrariant et contredisant le régime en place sur les dossiers ultrasensibles suivants : les attaques simultanées des sites stratégiques à Kinshasa, Lubumbashi et Kindu, les massacres perpétrés par les Bakata Katanga dans le triangle de la mort (Pueto, Manono, Mitwaba, l’assassinat odieux et inopiné du général Mamadou Ndala, la remise

en cause de la vérité des urnes dans l’élection de la députée nationale du PPRD Wivine Moleka.

Et pour enfoncer davantage le clou dans le cœur du pouvoir, sous prétexte d’organiser la caravane de la paix dans la partie Est du pays longtemps endeuillée par les rébellions cycliques et récurrentes, Vital Kamerhe a mis à profit sa tournée pour se livrer à une véritable

campagne électorale avant le coup d’envoi officiel. En guise de défi, il a procédé à une démonstration de force en termes de charisme et de popularité à Béni, Butembo et Goma. Ainsi, pour le rappeler à l’ordre, non seulement l’autorité a dispersé ses partisans violemment à Bukavu mais aussi lui a interdit de poursuivre ses exhibitions publiques à Walungu et à Uvira où il comptait se rendre. Il a été, de ce fait, Suite en page 6

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172, Av. Kikwit au croisement avec l'avenue des Huileries, à Kinshasa / Lingwala Tél. : 0974596644

(réservation)

6 ACTUALITE

Question troublante sur la lune de miel entre UDPS et UNC

Félix Félix Félix

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contraint d’écourter son séjour et de regagner Kinshasa sans ménagement où l’attendaient ses sympathisants pour un accueil chaleureux. Les forces de l’ordre les ont chargés à coups de matraque et de gaz lacrymogène de l’aéroport jusqu’à Kingasani ya suka.

Kamerhe n’a donc pu avoir droit aux honneurs et au bain de foule.

Curieusement, depuis le début du déterrement de la hache de guerre entre l’UNC et la MP, le sphinx de Limete garde un silence de cathédrale.

Cette attitude, loin s’en faut, donne lieu à des commentaires et des spéculations à sens divers. C’est dans ce contexte que, pour la première fois, son porte-

voix autorisé et qui est son propre fils, Félix Tsisekedi a exprimé le point de vue de son parti, UDPS, à travers une interview accordée à la télévision diaspora « Tshiangu » de samedi 8 mars 2014.

D’entrée de jeu, le chargé de l’UDPS à

l’extérieur du pays (équivalent du ministre des affaires étrangères) a tenu à rassurer l’opinion sur ce qui est considéré comme un silence, l’immobilisme d’Etienne Tshisekedi en ces termes : « Je vous rassure que M. E. Tshisekedi

travaille, tout est mis en œuvre pour satisfaire le peuple congolais.L Quand sonnera l’heure du résultat de son travail, a-t-il poursuivi, nombreux parmi ceux qui ont perdu confiance regretteront leur impatience ».

Sur la question de la poussée de Vital Kemerhe dans l’offensive contre Joseph Kabila avec risque de supplanter l’UDPS, Félix Tshisekedi recadre la situation en déclarant : « Il faut noter qu’E. Tshisekedi n’est pas opposant. C’est Joseph Kabila qui est opposant à Etienne tshuisekedi ».

S’agissant de la caravane de la paix et la démonstration de popularité de Vital Kamerhe dans son parcours, Félix Tshisekedi a exprimé sa solidarité

avec Vital Kamerhe. Il a même ajouté : »Vital kemerhe a compris qu’à un certain moment, il faut savoir se situer du côté du peuple ». Allusion faite sans doute à la fin des amitiés longtemps entretenues entre le Président Kabila et Vital Kamerhe. Il renchérira pour marquer sa satisfaction et sa d i s p o n i b i l i t é :

« Contrairement à ceux qui s’autoproclament leaders, quand ils n’ont derrière eux que épouse et enfants, V. Kamerhe, lui, a prouvé son statut de leader. Il a notre soutien, il est le binvenu dans la famille des grands partis politiques ».

Avec cette msie au point, le doute se dissipe sur la couleur des nuages marquant les relations entre l’UDPS et l’UNC.

Pourvu que cela dure ! Suite de la page 5

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Léon K Léon Keng eng eng eng engo w o w o w o wa Dondo o w a Dondo a Dondo a Dondo,,,,, Pr a Dondo Pr Pr Premier ministr Pr emier ministr emier ministr emier ministre emier ministr e e e e du g

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ans l’édition du Télégramme du Congo n° 045 du 25 février au 4 mars 2014, sous le titre :

« Gouvernement de cohésion nationale : La RDC à nouveau sur la troisième voie », nous avons évoqué le problème de formation du gouvernement de cohésion nationale issu des tractations des concertations nationales.

A ce sujet, le voile se lève de plus en plus sur le nom de l’heureux élu à la primature.

Des confidences glanées en haut lieu attestent, en effet, que

LTC

Augustin Matata Ponyo au Ministère des Finances !

c’est Léon Kengo wa Dondo qui serait le Premier ministre de l’exécutif tant attendu.

L’intéressé d’ailleurs se livrerait déjà à des consultations pour la constitution de son équipe gouvernementale.

Dans le même ordre

d’idées , selon les desirata des institutions financières internationales, Augustin Matata Ponyo occuperait le poste de ministre des Finances, «poste dit des compromis». Rendez- vous dans quelques semaines pour la meilleure surprise de cette année 2014.

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LE

LE TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 AAU 18 MARS 2014U 18 MARS 2014 Deo Gratias Mutombo promet d’en parler au cours de la Troïka économique du Gouvernement, la rencontre hebdomadaire qui réunit la BCC, les ministères des Finances et du Budget sous la direction du Premier ministre pour évaluer la conjoncture économique du pays.

Le gouvernement congolais a décidé en octobre 2012 l’interdiction de l’importation des voitures d’occasion mises en circulation avant 2002.

Cette mesure est censée

« limiter l’impact nuisible des véhicules polluant l’environnement ».

appelé les militaires formés à faire la fierté du pays, évoquant au passage le travail des FARDC déployés actuellement en Centrafrique dans le cadre de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (Misca).

Pour sa part, le commandant du centre d’instruction de Mura, le général de brigade Bertin Basekayi, a rappelé que cette formation a débuté le 19 novembre 2012. Quatre mille quatre-vingt-dix recrues, venues de toutes les provinces du pays, étaient inscrites au début de la formation. Plus de dix éléments sont morts à la suite des épidémies de méningite et de choléra en 2013.

Ces militaires ont été formés par des instructeurs congolais et sud-africains.

Le représentant du chef d’état-major de l’armée sud- africaine a salué la coopération militaire entre la RDC et son pays, vieille de près de dix ans.

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Boma:

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de plus de 10 ans af de plus de 10 ans af de plus de 10 ans af

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ECHOS DES PROVINCES

LTC/RO

LTC/RO

L

’interdiction d’importer des véhicules de plus de dix ans affecte les activités des banques à Boma, l’un des

principaux ports où accostent les bateaux transportant les

marchandises importées en RDC. C’est ce qu’a déclaré le samedi 8 mars le gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC), Deo Gratias Mutombo, après une séance de travail avec les responsables des institutions

Katanga : Plus de 4 000 jeunes Katanga : Plus de 4 000 jeunes Katanga : Plus de 4 000 jeunes Katanga : Plus de 4 000 jeunes Katanga : Plus de 4 000 jeunes

militair militair militair militair

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lus de quatre mille jeunes militaires congolais ont achevé le samedi 8 mars leur formation au centre d’instruction de Mura près de la ville de Likasi dans la province du Katanga. Le ministre congolais de la Défense, Alexandre Luba Tambo, qui a pris part à la cérémonie de clôture de cette formation, a

souhaité que ces jeunes militaires soient

« l’espoir de l’armée de demain que nous sommes en train de vouloir recréer en remplacement de leurs aînés qui seront appelés à aller en retraite ».

Le ministre congolais a indiqué que le gouvernement voulait mettre en place « une armée nouvelle, puissante, républicaine et dissuasive qui protège ».

Alexandre Luba Tambo a bancaires de la province

du Bas-Congo.

« Nous avons évoqué avec les banques les questions liées à la stabilité et au développement du système financier, donc le volume des activités de business. Ils ont notamment fait allusion à la baisse d’activités à Boma du fait de l’interdiction de l’importation des véhicules vieux de 10 ans et plus », indique-t-il.

Le gouverneur de la BCC explique qu’une baisse des activités au port de Boma, principal centre d’activités dans cette province, entraîne la baisse du volume de business.

LTC / RO

L

es habitants du quartier Kimbuala à Kinshasa

déplorent l’arrêt des travaux de réhabilitation de la route Pompage- Regideso depuis près de deux semaines. En janvier dernier, ils s’étaient réjouis du lancement des travaux de réhabilitation de ce tronçon routier qui leur permet de se rendre plus facilement au centre- ville. Ces travaux étaient réalisés par l’Office des voiries et de drainage

(OVD).

« Quand les agents de l’OVD sont arrivés, la joie était totale parce que nous entrevoyions déjà la réhabilitation de cette route », confie un habitant du quartier, regrettant que cette entreprise se soit limitée à poser des cailloux sur certaines portions de la route.

« Ce qu’ils ont fait est comparable à un enfant sur qui on jette de l’eau au lieu de le laver convenablement.

A quoi ça sert de commencer un travail sans l’achever ? », s’interroge-t-il.

Cet habitant de Kimbwala

estime que, faute de réhabiliter cette route convenablement, l’OVD aurait dû répandre les cailloux sur tout le tronçon et curer les caniveaux pour la rendre quelque peu praticable.

Le patron de l’OVD, Benjamin Wenga, reconnaît l’arrêt des travaux de réhabilitation de la route P o m p a g e - R e g i d e s o , évoquant, sans plus de détails, une perturbation du calendrier d’exécution des travaux.

Il appelle les habitants de Kimbwala à la patience et promet la reprise des travaux dans les prochains jours.

Kinshasa:

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Kinshasa: Kinshasa: ar ar ar ar arrêt de tr rêt de tr rêt de tr rêt de tra rêt de tr a a a av v v vaux de réha v aux de réha aux de réha aux de réha aux de réhabilita bilita bilita bilita bilitation tion tion tion tion de la r

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L

a Direction générale des recettes administratives et domaniales (DGRAD) salue le travail de la Police de circulation routière (PCR) dont les contraventions infligées aux conducteurs de véhicules ont généré 20 millions de francs

congolais (environ 21 000 dollars américains) en 2013 à Uvira au Sud- Kivu. L’année

précédente, elles avaient généré 4 millions de francs congolais (4 300 dollars américains) en moins.

La DGRAD a adressé une note de félicitation au commandant de la PCR à Uvira, le capitaine Blaise Mwana Mukandila Bulenga.

Ce dernier explique que cet argent a été généré grâce à la discipline, à la conscience professionnelle et à la rigueur des policiers

Uvira: les contraventions routières ont Uvira: les contraventions routières ontUvira: les contraventions routières ont Uvira: les contraventions routières ont Uvira: les contraventions routières ont

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LTC / RO de son unité.

Il affirme cependant que la PCR ne rançonne ni ne tracasse les conducteurs de véhicules.

Le capitaine Blaise Mwana Mukandila déplore que plusieurs commerçants et autorités locales ne respectent pas les règles de circulation routière. Il promet de poursuivre les efforts pour faire respecter la loi.

Au cours d’un point de presse tenu à Uvira, le commandant de la PCR à Uvira a appelé tous les conducteurs qui empruntent le tronçon routier entre le Rond-point et Kavimvira, à la frontière burundaise, de rouler à la vitesse réglementaire (30 Km/h) pour éviter les accidents.

Trois cas d’accidents mortels ont été enregistrés ces deux dernières semaines sur ce tronçon qui est en train d’être réhabilité.

En outre, le capitaine Blaise Mwana Mukandila recommande aux conducteurs de motos et à leurs clients le port des casques de protection.

L

es Forces ar mées de la RDC (FARDC) ont pris le contrôle de la lo- calité de Makoyova 3, considérée comme le dernier bastion des re- belles ougandais des ADF à Beni. Le com- mandant de la 8è ré- gion militaire au Nord- Kivu et de l’opération « Sokola », le général- major Lucien Bahuma a annoncé lundi matin que les rebelles ont fui la localité après des combats qui ont fait 22

Beni : Beni : Beni : Beni :

Beni : l’ar l’ar l’ar l’ar l’armée contrôle Mak mée contrôle Mak mée contrôle Mak mée contrôle Mako mée contrôle Mak o o oy o y y y yo o o ov o v v va 3, v a 3, a 3, a 3, a 3, der

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morts dans leurs rangs et deux du côté de l’armée.

L’opération « Sokola », menée par l’armée contre les ADF dans le territoire de Beni, a débuté le 16 janvier.

La localité de Makoyova 3 est sous contrôle de l’ar- mée depuis dimanche 9 mars dans la soirée après de violents combats à l’arme lourde et automati- que avec les ADF dans cette localité du Nord-Kivu.

Au-delà des morts enre- gistrés des deux côtés, qua- tre militaires ont été blessés durant ces combats, a af-

firmé le général-major, Lu- cien Bahuma Ambamba.

Selon plusieurs sour- ces militaires et sécuritaires, les ADF ont pris la direction du Parc national des Virunga et les massifs de Ruwenzori.

Le commandant de la 8è région militaire a as- suré que les rebelles ougandais seront pour- suivis jusque dans leurs derniers retranchements.

Makoyova 3 était con- sidéré comme le dernier bastion où s’étaient re- tranchés les ADF et leurs chefs après la conquête de plusieurs bases qu’ils occupaient.

LTC / RO

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8 AFRIQUE NEWS

L

e président kényan, Uhuru Kenyatta, a annoncé une réduction de 20% de son salaire et de celui de son vice-président, William Ruto, ainsi qu’une baisse de 10% des traitements des ministres, en vue de réduire les dépenses publiques.

«Conscient de la hausse de la facture de la masse salariale publique, mon vice-président et moi allons baisser de 20% notre paie et nos ministres ont accepté une réduction de 10% avec effet immédiat», a déclaré M. Kenyatta, dans un discours prononcé vendredi à l’issue d’un séminaire gouvernemental et publié sur le site de la présidence. Selon le quotidien Standard, le traitement présidentiel mensuel de M. Kenyatta - dont la famille figure parmi les plus riches d’Afrique - va passer de 1,237 million de shillings à 989.600 shillings (environ 8.250 euros). Le salaire minimum pour un employé non qualifié à Nairobi est fixé à 8.500 shillings mensuels.

Le traitement de M. Ruto, considéré comme l’une des plus grosses fortunes du Kenya, passera lui de 1.051.875 shillings à 841.500 shillings mensuels. Ces deux baisses feront économiser environ 5,5 millions de shillings (environ 46.000 euros) par an à l’Etat kényan, selon le Standard. M. Kenyatta a également annoncé la mise en place d’une nouvelle politique en matière de voyages, «limitant les déplacements à l’étranger aux plus essentiels», «la réduction significative du gaspillage au sein du gouvernement» et «la rationalisation des dépenses courantes» de l’Etat.

1 K K K K Ken en en en eny y y ya : y a : a : a : a : le président baisse son le président baisse son le président baisse son le président baisse son le président baisse son salaire de 20%

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ur fond de nette amélioration des relations entre le Togo et la communauté internationale, le président Faure Gnassingbé prépare sereinement les prochaines échéances électorales.

Conforté par le déblocage, en janvier, des aides budgétaires de l’Union européenne et de la Banque mondiale, puis, le 20 février, par les déclarations de Flavia Pansieri, Haut-Commissaire adjointe de l’ONU, félicitant le Togo pour ses «avancées considérables dans le domaine des droits de l’homme», allant jusqu’à le qualifier d’«exemple», Faure Gnassingbé entame dans de bonnes conditions l’année qui le sépare de la présidentielle de mars 2015. Malgré les objections de ses opposants (qui n’ont guère de chances d’être suivis par la communauté internationale), il ne fait guère de doute que le chef de l’État sera candidat à sa succession.

Les élections locales repoussées ?

Entre-temps, l’Union pour la République, son parti, devrait tenir son congrès constitutif à la mi-avril, et quelques retouches pourraient être apportées au mode de scrutin dans le cadre du dialogue engagé avec l’opposition. Le chef de l’État a en effet répondu positivement à la demande écrite formulée en ce sens par son principal leader, Jean- Pierre Fabre. Les élections locales prévues pour cette année pourraient en revanche être repoussées à l’après-présidentielle. Pour des raisons non politiques (la présidentielle de 2010 et les législatives de 2013 se sont déroulées sans heurts particuliers) mais budgétaires.

3 Centrafrique : quatre pillards tués Centrafrique : quatre pillards tués Centrafrique : quatre pillards tués Centrafrique : quatre pillards tués Centrafrique : quatre pillards tués dans des règlements de compte dans des règlements de compte dans des règlements de compte dans des règlements de compte dans des règlements de compte

4 La Libye crée une force spéciale pour La Libye crée une force spéciale pour La Libye crée une force spéciale pour La Libye crée une force spéciale pour La Libye crée une force spéciale pour le

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our tenter de mettre fin au blocage des sites pétroliers, le Congrès général national libyen (CGN) a annoncé lundi sa décision de mettre en place une force armée spéciale composée à la fois d’unités de l’armée et d’ex-rebelles.

Depuis l’été, des rebelles autonomistes bloquent des sites pétroliers libyens. Une situation qui ne peut plus perdurer, selon le Congrès général national (CGN) qui a décidé lundi de former une force armée spéciale pour déloger les assaillants.

«Nouri Abou Sahmein, également chef des forces armées libyennes, a été chargé de la formation de [cette] force pour libérer et lever le blocage sur les ports pétroliers», a déclaré Omar Hmidan, le porte-parole du CGN.

Q

uatre pillards ont été tués par balle dans la nuit de samedi à dimanche à Bangui lors d’une altercation entre deux bandes rivales qui a dégénéré en fusillade, a-t-on appris de source militaire centrafricaine.

Deux civils ont également été blessés par des balles perdues lors de l’échange de tirs dans le quartier de Bacondja, dans le centre de la capitale centrafricaine, selon la même source. Les tirs ont été provoqués par une dispute entre deux groupes rivaux pour le partage du butin de pillages perpétrés dans le quartier, a précisé cette source sous couvert d’anonymat.

La Centrafrique s’est enfoncée dans un cycle de tueries interreligieuses, après des mois d’exactions essentiellement contre les chrétiens, perpétrées par les combattants majoritairement musulmans de la coalition Séléka qui avaient pris le pouvoir à Bangui le 24 mars 2013. En réaction, des milices d’autodéfense anti-balaka se sont formées. Très rapidement elles ont attaqué sans distinction anciens rebelles et musulmans, à Bangui notamment.

Des groupes de pillards, armés, sévissent également dans la capitale, profitant de la désorganisation des forces de sécurité centrafricaines et malgré la présence des forces française Sangaris et africaine Misca. L’insécurité causée par les violences entre chrétiens et musulmans et la montée de la criminalité exacerbent une situation humanitaire désastreuse pour des centaines de milliers de personnes, a d’ailleurs prévenu le Comité international de la Croix- rouge (CICR), dont un collaborateur centrafricain a été tué samedi dans la localité de Ndélé (nord).

Des hommes en armes ont pénétré dans la Mission catholique où logeaient quatre collaborateurs nationaux du CICR. L’un d’entre eux a été tué, les trois autres sont sains et saufs, a ajouté le CICR sans autres précisions. Selon une source militaire centrafricaine, la victime a été tuée par un combattant Séléka, pour des motifs qui n’ont pas encore été déterminés.

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LE TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 TELEGRAMME DU CONGO N°047 DU 11 AAU 18 MARS 2014U 18 MARS 2014

SOCIETE 9

L

a journéeinternationale de la femme est célébrée dans de nombreux pays.

Une fois par an, les femmes sont reconnues, non pour leurs

différences physiques évidentes - mais pour leurs contributions au progrès de l’humanité, à partie quasiment égale à celles de l’homme. C’est également l’occasion pour les sociétés du nord, du sud, de l’est et de l’ouest de se rappeler que la femme est non seulement la compagne

indispensable de l’homme, mais de souscrire à l’affirmation selon laquelle, entre la femme et l’homme, il n’y a pas de différence

ontologique. La femme, c’est l’ «Homme» avec un

Le 8 mar Le 8 mar Le 8 mar Le 8 mar

Le 8 mars s s s s,,,,, jour jour jour jour journée inter née inter née inter née interna née inter na na nationale de la f na tionale de la f tionale de la f tionale de la f tionale de la femme emme emme emme emme

grand «h».

Mais la femme – plus particulièrement la femme africaine - est également l’avenir de l’homme. Les drames que vivent certaines d’entre elles dans l’Est de la RDC nous invitent à le rappeler.

La première journée semble avoir été célébrée le 28 février 1909 sur tout le territoire des Etats-Unis.

Ensuite, les femmes ont continué à commémorer la journée les derniers dimanches de février. Une année plus tard, à Copenhague, une journée à

POEME L’Or du monde

Par Joelle Mwabila caractère international est

instaurée. Ceci, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits de la femme et pour aider à obtenir le suffrage universel de cette dernière.

Proposition adoptée à l’unanimité par une assemblée constituée en grande partie par des femmes.

En 1917, après la 1ère guerre mondiale, des millions de soldats sont tués et à nouveau les femmes choisissent le dernier dimanche de février pour faire grève et demander « du pain et la paix». Les autorités s’opposent à la date, les femmes passent outre. 4 jours plus tard, le Tsar abdique et le droit de vote est accordé aux femmes. C’était le 23 février dans le calendrier julien, calendrier en vigueur en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier grégorien,

utilisé partout ailleurs.

La journée internationale de la femme est, depuis, devenue le point de ralliement des efforts coordonnés pour exiger la réalisation des droits de la femme et leur participation aux processus politique et économique et sociaux dans leurs pays respectifs.

Où en est la RDC à propos d 8 mars ?

(Dans ses prochaines éditions,

«Le Télégramme du Congo» se propose d’offrir à ses lectrices et lecteurs, durant tout le mois de mars, des « portraits de femmes » qui, toutes, se battent pour changer l’image de la condition féminine et celle des enfants en Afrique, Ndlr)

Par Ousmanou Magadji

«’Homme est ma Volonté et ma Cause, son Unité et Bienêtre, ma Devise le gît de ma Raison,’Entente et la Confraternité Universelle mon Illusion.»

« L’or du monde se trouve parmi le Peuple : chaque homme est une pépite d’or. Baissons-nous pour le ramasser, et faire briller Chaque Etre Humain, et au demeurant l’Humanité toute entière pour l’érection d’une Destinée Commune Harmonieuse. »

«Devoir de tout homme c’est d’être un homme, c’est-à-dire jouer son rôle naturel dans la Communauté: avoir de la Compassion pour chacun de ses membres, protéger, partager, participer à la bonne marche de cette Communauté… Ainsi, pour les besoin de la cause, il doit se battre, créer, inventer et innover.

L’Africain s’est pourtant privé naïvement de ces valeur humaines et qualités naturelles par égoïsme moral envers le Blanc, mué par béatitude intellectuelle et une méconnaissance avérée de l’Être Humain.»

«Avoir voulu grandir en refusant d’être petit avant, comme il se doit, tourmenté entre une enfance et une adolescence à peine entamées, la maturité compromise de fait, l’Africain peine à grandir: il a la littérature tonnante d’un grand, mais agit comme un enfant. Il a gâché son enfance par vaine vanité.»

«Etre torturé avec servitude et délectation perfide la conscience du Blanc pour conserver son innocence à tout

prix, l’Africain a laissé pourrir sa conscience à lui : c’est l’origine de cette putréfaction collective de conscience qui trouble et avilit l’esprit des Africains, les rendant indifférent envers leur propre destinée et responsabilité, desservant de facto leur Existence individuelle et collective. C’est le fruit de la liberté mal assimilée et de l’idéologie victimaire. »

«Etre Humain ou groupe d’Etres Humains qui s’arroge une supériorité, morale, idéologique ou matérielle, et en abuse au Détriment d’un autre groupe et de la Communauté Humaine, finit toujours par en payer de sa chair ou de sa conscience, ou des deux. L’Africain paie le prix de son sentiment de supériorité morale envers le Blanc: son esclave moral. Il le paie de sa chair par ses peines contemporaines.»

«Voulant bâtir l’Africain sur les instincts négatifs de l’Homme, les vices ‘humains’ du Blanc et ses perversions contre le Noir, les douleurs infligées par ce dernier au Noir, on a fait du Noir un Etre amorphe et néfaste pour lui-même: à force de jouer à la victime, le Noir est devenu son propre bourreau.

L’Africain souffre parce qu’il a abusé de l’Homme en ses vices et bafoué ses vertus, guidé par une rancœur aveugle et une réactivité compulsive qui le distrait de ses qualités et valeurs humaines primaires et existentielles.»

«Victime n’est ni une vertu, une qualité pratique ou un avantage naturel. Pourtant l’Africain en a fait une valeur morale, idéalisé

et élevé au rang de vertu;

pire encore, il en a fait un capital pécuniaire donc il abuse en torturant la conscience du Blanc de culpabilité pour lui ravir biens et obligations dites morales. Pour cela, le Noir s’est donc travesti en victime, par ignorance et perfidie contre l’Homme. Il en paie le prix, car la logique de victimisation est contre-nature et néfaste la victime elle-même, agissant contre l’Homme. »

«Est une chose que d’être intelligent, et une que de savoir l’être. Certes l’Africain est intelligent, mais sait-il être intelligent?»

«Cynisme, l’égoïsme ou les tricheries inhumaines étant le propre de l’homme, un chef n’a pas vocation à être ’chrétien’, sinon, il n’en n’est pas digne et s’est trompé de vocation.

Un chef doit aussi sévir: Etre cynique, rude et ferme quand la nécessité l’impose: c’est dans son sacerdoce que d’agir de la sorte.»

«Justice d’un chef n’est pas la même que celle de Dieu. Un chef doit savoir pourfendre ses convictions les plus pieuses et humanistes pour mieux gouverner la Cité. De fait, quand on gère les choses des Hommes, il faut être ange et Machiavel: surhumain.’est l’ambigu sacerdoce d’un chef.»

«N’y a point de mauvaise personne, il n’y a que de mauvais rôle. Alors, tachons tous de jouer le bon rôle et de le faire jouer avec grâce ou fermeté autour de nous et partout où nous passons.les bons acteurs. »

«Sommes tous des MANDELA. Il suffit pour cela de laisser s’épanouir l’Humanisme qui sommeille en chacun de nous et de dominer la haine, la rancœur, la méchanceté et l’égoïsme qui nous avilissent., tout doit partir de notre Humanisme Naturel et Vertus d’Homme. »

«Les siens au détriment des autres, c’est les desservir et enflammer les antagonismes stériles qui s’opposent à la Destinée Commune Harmonieuse d’une Nation, et à celle de L’Humanité au final.»

«Culture de la Nécessité Existentielle et des Ambitions Humaines est la Mère de toutes les cultures. L’Homme érige sa culture pour ses besoins vitaux et les commodités de son Existence, ce n’est point la culture qui le bâtit. L’Homme n’est donc pas un sujet de sa culture.»

«L’homme de ses vices ne le rend point vertueux. Au contraire. C’est en faire une moitié d’homme. Car, méconnaissant ses vices, il les ignore et devient donc vicieux par candeur, et de facto, privé de culpabilité et irresponsable, nuisible pour la Société et pour lui-même: cette vile innocence est le mal de l’Africain.»

«Est l’Autorité de la Vertu, de la bonté, le socle de l’espérance, Celui Qui soulage les blessures de nos peines et nos culpabilités, le Garant de nos rémissions et Harmonie Intérieure. Marchons sous sa Protection. Il est grand.»

«Dieu est le fruit de l’imagination humaine, ce que

c’est la plus Grande, la plus Extraordinaire et Vertueuse de toutes. A cet égard, IL mérite notre respect et admiration, car, IL est Suprême en ce que Nous les Homme l’avons voulu et intronisé comme tel: IL est «» ROI.

Elevons-LE et soumettons-nous à son Autorité et ses nobles Fondements, Parce nous, Hommes, avons fait de Lui notre Maitre Absolu. A cet égard, nier Dieu, revient à renier L’Homme: NOUS, ce que nous sommes, notre créative érudition, notre altière Supériorité .»

«Et, que serais-je sans toi

? Je m’ennuierai, m’en dormirai d’oisiveté et m’étranglerai par manque d’ambition, d’occupation et d’ennemi. C’est tout l’Homme ça : que de mourir d’ennui par manque d’ennui. L’adversité est une saine, exaltante et inspiratrice distraction pour l’Homme. »

«C’est l’homme sans l’homme? Rien. Il le met au monde, veille sur lui, existe à travers lui, s’exhibe et se vante pour lui, le sauve et le torture par nécessité. Drôle de bête. »

«Par son intelligence, l’Homme est une tare de la Nature: il faut le protéger de lui-même, et les autres créatures de lui, C’est pour son propre bien.»

«-Moi pour mes idées, et laissez-moi donc jouir de ma Misère!...»

Referenties

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