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10/03/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE LUNDI (CongoForum)

La vie politique congolaise continue à être gangrenée par le refus obstiné par le pouvoir de reconnaître la nullité des élections de 2011 et la crainte de voir celles de voir le cycle électoral à venir perpétuer les mêmes irrégularités. Le MLC vient de se joindre aux contestataires. Le gouvernement de cohésion nationale n’est toujours pas sorti des limbes. Pendant ce temps, le « gouvernement sortant mais pas encore sorti » de Matata Ponyo se démène dans les domaines des télécoms, de la sécurité aérienne, du charroi automobile et des droits de la femme. La rumeur fait état d’une prétendue hospitalisation d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, président national de l’Udps.

Processus électoral

Dans la feuille de route présentée le 30 janvier dernier à l’Assemblée nationale, le président de la CENI avait proposé deux hypothèses. Dans la première, l’abbé Malu Malu proposait que la CENI organise d’abord les élections municipales et locales au suffrage direct avant de poursuivre avec des élections au suffrage indirect des députés provinciaux, sénateurs, bourgmestres, gouverneurs, maires et conseillers urbains. Ce n’est qu’après que la CENI pourrait, par la suite, organiser des élections au suffrage universel direct des députés nationaux et du président de la République en 2016. La seconde hypothèse mettait en exergue le souhait du président de la CENI d’organiser d’abord des élections au suffrage universel direct des députés provinciaux, nationaux et du président de la République en 2016. Les scrutins au suffrage indirect des sénateurs, gouverneurs et vice-gouverneurs seront organisés en 2017. En fait, c’est la seconde hypothèse qui alimente la polémique. D’ailleurs, les organisations de la Société civile l’ont rejetée au motif qu’elle nécessiterait la révision de la Constitution. Le président de la CENI jugeait également indispensable la révision de quelques articles de la Constitution en soutenant que l’on devrait réviser un article qui concerne le scrutin des sénateurs et deux articles (197 et 198) qui concernent les institutions provinciales.

Des organisations de la société civile congolaise avaient aussitôt rejeté la révision constitutionnelle proposée par la Commission électorale nationale indépendante pour appliquer le mode de scrutin indirect pour les élections provinciales. Une coordination

« Sauvons la RDC », qui regroupe essentiellement des partis ayant refusé de participer aux concertations nationales a lancé à ce propos une pétition pour demander le départ de Malumalu. Après ces premières initiatives, dans une déclaration rendue publique le 3 mars dernier, les évêques catholiques de la RDC s’étaient également dits opposés à l’organisation des élections provinciales, municipales, urbaines et locales au suffrage indirect. Le Mouvement de libération du Congo (MLC) qui avait accepté, lui, de participer aux Concertations, vient à son tour de faire connaître son opposition aus propositions de Malumalu.

Radio Okapi annonce « le MLC opposé au scrutin indirect proposé par la Ceni ».

Le MLC se dit opposé à la proposition du président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) d’organiser l’élection des députés provinciaux, sénateurs, bourgmestres, gouverneurs, maires et conseillers urbains au suffrage indirect. Le secrétaire général adjoint de ce parti de l’opposition chargé de la coordination des fédérations, Alexis Lenga, affirme que ce mode de scrutin est contraire à la constitution.

«L’abbé Malu Malu [président de la Ceni], à travers une feuille de route, a lancé ce que nous appelons un ballon d’essai pour modifier d’une façon indirecte la constitution en instituant le suffrage indirect pour des élus dont les modes d’élection sont bien déterminés dans la constitution », explique-t-il. Alexis Lenga fait notamment allusion aux députés provinciaux, dont l’élection au suffrage universel direct est déterminée par l’article 197 de la constitution. L’une de deux hypothèses présentées dans la feuille de route électorale du président de la Ceni propose l’organisation des élections municipales et locales au suffrage direct avant des élections au suffrage indirect des députés provinciaux, sénateurs, bourgmestres, gouverneurs, maires et conseillers urbains. C’est

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après cette étape que la Commission électorale pourra organiser des élections au suffrage universel direct des députés nationaux et du président de la République en 2016. L’abbé Malu Malu avait expliqué que cette hypothèse permettrait de contourner plusieurs difficultés logistiques et financières.

En plus du suffrage direct, le MLC réclame la poursuite du cycle électoral enclenché en 2011 avant le lancement d’un nouveau cycle. Seules les législatives nationales et la présidentielle avaient été organisées en novembre 2011. Alexis Lenga invite la Ceni à organiser les élections des députés provinciaux, sénateurs et gouverneurs.

Le Phare titre « Feuille de route de Malumalu : le MLC rejette le suffrage indirect ». Il écrit :

« Après le pavé des évêques catholiques qui se sont ouvertement opposés aux élections municipales, provinciales et sénatoriales au suffrage indirect, telles que proposées par le président de la Commission Electorale Nationale Indépendante, le Mouvement de Libération du Congo vient à son tour de lâcher du lest. Le Secrétaire Général adjoint et président du groupe parlementaire à l’Assemblée nationale du parti cher à Jean-Pierre Bemba, Alexis Lenga n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour rejeter le suffrage indirect et toute tentative de révision constitutionnelle soutenue par l’Abbé Malumalu dans sa feuille de route sur le processus électoral.

Accompagné de l’Inspecteur Général, Jacques Ndjoli, du président du comité interfédéral ainsi que des députés et sénateurs du parti de l’homme fort de Gemena, Alexis Lenga a sensibilisé la base de la Fédération du MLC Tshangu 3 à Kinkole le samedi 7 mars 2014 à barrer la route au projet de l’Abbé Malumalu.

Il a affirmé que la révision de l’article 197 de la Constitution pour la tenue de scrutin au suffrage indirect constitue un recul de la démocratie et une planification d’un hold up électoral par le président de la CENI, qui a déjà fait ses preuves à la présidentielle de 2006 avec les tripatouillages des résultats, empêchant Jean-Pierre Bemba, élu par la majorité du peuple congolais, d’accéder à la magistrature suprême. Alexis Lenga a rappelé que le MLC garde un mauvais souvenir de l’actuel président de la CENI, transporté dans un char en 2006 pour aller proclamer les résultats du premier tour de l’élection présidentielle. Le Secrétaire Général adjoint du MLC chargé des fédérations deTshangu a saisi l’opportunité pour informer l’opinion que son parti n’a jamais signé le « Code de bonne conduite » de la CENI, pour ne pas cautionner la dérive de Malumalu.

Concernant la libération de Jean-Pierre Bemba qui continue à croupir dans sa cellule de la Haye, le président du groupe parlementaire du MLC a fait savoir que la chambre préliminaire de la Cour Pénale Internationale devait se prononcer sur les préalables soulevés par la défense sur la subordination des témoins que son parti considère comme un montage, faute de preuves. Ce haut cadre du MLC a assuré les partisans d’IGWE de la libération imminente de leur leader, qui doit revenir au pays de ses ancêtres pour assurer une alternative crédible en RDC. Tout en appelant à l’unité de l’opposition, ce proche de Bemba a fustigé le fait que le porte-parole de l’Opposition n’est toujours pas désigné alors que l’actuelle législature tend à sa fin ».

Nouveau gouvernement

Nous ne sommes plus qu’à quelques jours du 15 mars, date d’ouverture de la session parlementaire que la rumeur assigne comme date butoir du sursis de Matata Ponyo, et l’on n’en sait toujours pas plus sur le gouvernement de cohésion nationale.

Le Potentiel écrit en manchette « Gouvernement de cohésion nationale, Primature : les prétendants confrontés à l’échéance 2016 ».

D’après ce journal, la formation du gouvernement de cohésion nationale tient en haleine l’opinion. Raison, l’oiseau rare. Les candidats rivalisent à l’envi sur le cadre macroéconomique. Dans tous les cas de figure, le futur locataire de la primature est celui qui aura convaincu Joseph Kabila de ses capacités manœuvrières jusqu’en 2016 et lui aura, en même temps, assuré sa survie politique au-delà de cette échéance.

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L’Avenir constate « Course à la Primature : des pyromanes s’illustrent par de vieilles méthodes ».

Des pressions sont exercées sur JKK, dont la finalité est la nomination d’un nouveau Premier ministre qui assurerait la survie politique après 2016. Faute de quoi, le pays plongerait dans le chaos. Mais L’Avenir leur répond en disant que ces pyromanes oublient vite le choix judicieux d’un nouveau chef du gouvernement, lequel ne visera pas à tordre le cou à la stabilité macroéconomique chèrement acquise.

(A travers ces articles dont il faut bien dire qu’ils reviennent à écrire « Tout ce qu’on sait, c’est qu’on sait qu’on ne sait rien » perce malgré tout une indication, relative au plus gros point d’interrogation : « Matata or not Matata ? ».

L’on sait que ceux qui, au sein de la MP, poussent l’actuel PM vers la sortie mettent en avant des arguments notamment électoraux. En substance, ils disent « Matata est peut être très bien sur le plan économique, mais nous sommes devant des échéances délicates du point de vue électoral. Il va falloir perpétuer le système d’une manière ou d’une autre. Pour faire passer ça, Matata n’est pas le « joséphiste 100 % pur jus » qui peut diriger une campagne électorale. Il faut donc le remplacer ».

D’autres, sans doute, estiment au contraire que l’on ne peut mettre en péril les résultats engrangé par Matata dans le domaine macroéconomique, la défense de la monnaie nationale, la lutte contre la corruption, le payement des salaires, etc… simplement parce que l’on n’est pas sûr qu’il serait aussi un bon colleur d’affiches électorales !

Evidemment, le travail d’un PM, ce n’est pas d’être un second directeur de campagne pour le compte d’un président ou d’un parti ! Mais cette tendance à transformer la vie politique en campagne électorale perpétuelle est un autre symptôme de la gangrène qui gagne la RDC depuis le refus par le pouvoir d’admettre la nullité des élections du 28/11/11. Celles-ci ont été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un

« corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus1. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Dans ce cadre, pendant que l’on parait au plus pressé, c'est-à-dire que l’on veillait à enliser la contestation de la fraude électorale dans les « Concertations nationales » - car l’on est dans un contexte où « l’électoral » envahit tout en permanence - l’on a mis en place, pour veiller « au reste » et sans doute avec l’idée qu’il serait provisoire, un gouvernement annoncé comme « technicien ».

Divine surprise ! Ce gouvernement était bon et s’attachait à travailler efficacement, choses rares en RDC. Il est aujourd’hui menacé d’âtre mis à la porte pour faire place à une équipe de propagandistes. Campagne électorale perpétuelle oblige. Tant pis pour l’intérêt de la Nation ! NdlR)

Gouvernement « sortant mais pas sorti » / Télécoms

La Prospérité titre « Bataille larvée autour de la 3G : NBC, Kin-Kiey s’en remet à la justice ! »

Il s’agit de la polémique autour de l’utilisation de la technologie 3G. Le Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (PT&NTIC) a sonné le tocsin, sur cette toute nouvelle affaire liée à

1 Les fraudes les plus importantes ayant eu lieu au niveau des centres de compilation, on ne pourrait se rapprocher de la « vérité des urnes » qu’en se référant aux PV des bureaux de vote, dernière opération publique et vérifiée par des témoins. Les chiffres de la CENI ne s’accompagnaient pas de ces PV, les chiffres publiés par l’UDPS, non plus. L’Eglise n’a jamais publié les résultats partiels constatés par ses observateurs. On n’a donc que des résultats dont la crédibilité est nulle. Les législatives ont été dignes de la présidentielle, sinon pires. Mais la CSJ a entériné les résultats de la présidentielle et des législatives. Le temps s’est écoulé, les résultats des élections demeureront à jamais inconnus.

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l’exploitation de la 3G. Ce journal rappelle que ce dossier oppose National British and Company (NBC) aux Sociétés des télécommunications opérant en RD. Congo.Il indique que le ministre congolais des Postes et Télécommunications Tryphon Kin-Kiey Mulumba ignore NBC comme détenteur du droit d’octroi de la licence de la troisième génération en RD. Congo. Il estime, par ailleurs, qu’aucune trace juridique ne permet d’accorder à cette firme un tel privilège. Ni au Ministère de tutelle, ni à l’Autorité de Régulation (ARPTC), pas de moindre indication dans les archives, fait savoir la Prospérité.

Pour mettre fin à cette controverse, le ministre s’en remet à la justice. Au cours d’une conférence de presse tenue le samedi dernier, rapporte le journal, Kin-Kiey Mulumba a indiqué que les quatre opérateurs des Télécoms qui utilisent la 3G en RDC ont obtenu leurs fréquences moyennant la somme de 60 millions de dollars américains, en raison de 15 millions chacun.

Sur le même sujet, Forum des As renseigne également que la technologie 3G a rapporté au Trésor public 60 millions de dollars américains.

Ce journal revient sur le début de cette affaire et rapporte que la National British and Company aurait acheté illégalement des fréquences à l’époque de la transition « 1+4 » au prix de 20 000 USD contre l’avis de l’ARPTC.

Or, fait remarquer le quotidien, la procédure en la matière exigerait que tout dossier d’attribution de fréquences soit préparé par le régulateur avant d’être soumis à la signature du ministre de tutelle, c’est-à-dire celui ayant en sa charge les télécommunications. Ce qui n’aurait pas été le cas à l’époque, croit-il savoir.

Mme Gertrude Kitembo, ministre des Postes, téléphones et télécommunications sous le régime « 1+4 », aurait ainsi vendu ces fréquences en solitaire et même contre l’avis de l’ARPTC, accuse Forum des As. « L’affaire a été depuis lors portée devant les cours et tribunaux. Avant cela, il y a eu des tentatives d’arrangement à l’amiable, mais qui n’ont pas abouti », souligne le ministre Kin-Kiey cité pour le journal. Le verdict de la Cour d’appel a donné raison aux opérateurs et l’affaire est de nouveau revenue au Tribunal de Commerce.

Gouvernement « sortant mais pas sorti » / journée internationale des droits de la femme.

« Qui, en ce 21ème siècle, peut encore douter du potentiel féminin ? », s’interroge la Prospérité dans son édito.

Revenant sur la célébration de cette journée en RDC, le journal fait état d’un divorce d’avec les vielles coutumes. Le sensationnel a désormais laissé la place à la conscientisation des jeunes filles, garçons, femmes et hommes, sur le bien-fondé d’avoir une société congolaise épanouie. Société où l’égalité du sexe fait bon ménage avec l’égalité de chance devant l’éducation, soutient la Prospérité. Le temps où les parents, devant le choix de scolariser le garçon ou la fille, ne trituraient pas trop les méninges, en optant pour la scolarisation du garçon et le mariage précoce pour la jeune fille, appartient désormais au passé, tranche le quotidien.

De son côté, Forum des As s’intéresse au discours de la ministre congolaise du Genre à l’occasion de cette journée. Geneviève Inagosi, demande aux filles de dénoncer toutes les formes de violences sexuelles. Elle appelle « au changement de comportement des membres de la communauté en vue de mettre fin aux actes ignobles perpétrés contre les femmes et les jeunes filles et pour accentuer la lutte contre l’impunité ». La ministre congolaise a regretté que le viol, utilisé comme arme de guerre par les belligérants à l’Est, a pris de l’ampleur dans tous les milieux de vie.

Gouvernement « sortant mais pas sorti » / Sécurité des transports

Selon L’Observateur, les propriétaires de 207 attendent la dernière minute pour se rendre au contrôle technique et donc, « Sur environ 30 000 véhicules Mercedes 207

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circulant à Kinshasa, quelque 185 taxis-bus 207 seulement ont passé le contrôle technique ».

André Kimbuta est catégorique renseigne ce confrère : à partir du 16 mars prochain, aucun véhicule non soumis au contrôle technique ne pourra circuler. Alors que Kinshasa compte quelque 400 000 véhicules en circulation, il avait seulement plus ou moins 3% de ces véhicules qui passaient au contrôle technique. Environ 90% de taxis-bus 207 n’ont

pas de freins arrière.

Radio Okapi signale « 10 compagnies aériennes interdites d’exploitation ».

Les avions de ces compagnies, dont au moins la moitié est opérationnelle, seront cloués au sol, a annoncé le ministre des Transports et Voies de communication, Justin Kalumba, vendredi 7 mars. Selon lui, il s’agit d’une recommandation de l’Association du transport aérien international (IATA); dans la perspective de l’assainissement du secteur aérien en RDC, dont le niveau de sécurité et de sûreté est parmi les plus bas au monde. Les compagnies frappées par cette mesure de retrait de licences sont : Air Baraka, Cetraca Aviation Service, Gisair, Goma Express, General Transports Airways, Katanga Express, Lubumbashi Air Service, Pegassus Aviation, Sion Airlines et Trace Congo Aviation.

Tshisekedi malade ?

Le Potentiel annonce à la Une « Malaise ou examens médicaux : Tshisekedi en

observation aux Cliniques universitaires ».

Le week-end a été marqué par la nouvelle faisant état de l’hospitalisation du Président Tshisekedi aux Cliniques universitaires de Kinshasa (CUK). Les versions divergentes suivant les sources. Les premières parlent d’un malaise qui l’aurait surpris. Les secondes confirment, la main sur le cœur, qu’il ne s’était agi que d’un simple contrôle de routine.

Les plus pessimistes parlent d’une hospitalisation alors que les fidèles des fidèles estiment qu’il s’était rien passé, « le président Tshisekedi est en forme en sa résidence

de Limete ».

© CongoForum, le lundi 10 mars 2014

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